Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (3)
Datte: 17/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... femme. Quelle belle surprise, quel magnifique cadeau m’avait offert cette belle journée. Je les caressai jusqu’aux poignets tandis que je posai doucement ma bouche sur sa nuque. Je la sentis frissonner et toute sa peau s’ériger en une intense chair de poule. Je détachai ses poignets le temps qu’elle puisse baisser les bras pour les reposer, et fis glisser doucement l’une après l’autre les fines bretelles du body par-dessus ses épaules, et je lui murmurai près l’oreille : « - Je vais vous foutre à poil, chère Madame. » Et sans attendre, après m’être replacé devant elle, sans empressement et le plus lentement possible, je descendis le body, dévoilant deux beaux seins volumineux et encore assez ronds, puis son ventre souple et blanc, beau comme celui d’une danseuse orientale, puis sa chatte replète… et le body tomba à ses pieds. Le mont de Vénus n’était couvert que d’une très fine toison, presqu’aussi fine qu’un duvet. Elle avait rapproché ses cuisses pour laisser tomber le vêtement à ses chevilles, et s’en débarrassa en levant les pieds l’un après l’autre. ytayppwx La dame mûre se prêtait magnifiquement au jeu. Elle ne s’offusquait pas de son traitement, et ne me posait plus de questions stupides sur les thérapies que je connaissais et que les autres médecins ignoraient, ni sur quels maux je soignais et prétendais guérir. En tout cas elle avait l’air d’apprécier le traitement que j’étais en train de lui administrer. Je joignis l’index et le majeur de ma main droite et les ...
... approchai de sa bouche, lui ordonnant : « - Sucez ! » Elle ouvrit la bouche sans discuter et je fis faire quelques va-et-vient entre ses lèvres. J’y introduisis même un troisième doigt. Puis, la saisissant de la main gauche par le menton pour qu’elle me fixe bien dans les yeux, délicatement, des doigts de la main droite, j’écartai les lèvres de son sexe et me mis à caresser doucement l’intérieur de sa vulve d’arrière en avant. Elle se laissait faire en soupirant, en soutenant mon regard. Je continuai, puis introduisis l’index puis le majeur dans l’orée de son sexe : « - Mmmm… bonne petite chatte… » lui susurrai-je sans cesser de la branler lentement. Puis je pris sa bouche, collant mes lèvres sur les siennes qui s’entrouvrirent, et elle me rendit mon baiser, un baiser lent et passionné, ma menteuse explorant sa langue, ses dents, toute sa cavité buccale. Je lâchai sa bouche à regret, puis toujours en fixant ses yeux bleus, je remontai mes doigts tout luisants de sève et les portai à la bouche et les suçai avec délectation : « - Mmmm, oui, vraiment, une bonne petite chatte. Goût subtile, épicé et poivré. » Puis j’attrapai ses seins à deux mains et me mis à les peloter doucement d’abord, puis de plus en plus fort, tout en la regardant droit dans ses yeux azur. Imperceptiblement, elle eut un petit mouvement du menton vers le haut, un appel. Sans lâcher ses seins, je me mis à la galocher de nouveau. Je lâchai ses seins et sa bouche, et lui dis : « - Vous êtes une femme curieuse, ...