Médecin dans une prison de femmes (IV)
Datte: 07/03/2019,
Catégories:
fh,
médical,
fépilée,
Oral
... regarde en souriant, mon esprit est tellement troublé par son regard que je n’arrive pas à me concentrer, il faut que j’y arrive : trouver la seringue, l’ampoule de sédatif, trouver une excuse pour la lui injecter, attendre, puis la regarder s’endormir. La déshabiller, glisser sa culotte juste assez pour que ses fesses soient bien découvertes, caresser son corps abandonné et offert, ses seins, ses fesses, son ventre. Lui parler de mon désir, demander pardon et ouvrir ses cuisses, poser ma main sur la toison, toucher, ouvrir et jouir de ma liberté, fermer les yeux quand le sperme tombe de mon gland sur le pubis abandonné. J’ai chaud, ce sont des flashes qui reviennent, Nice, les corps de mes patientes nues sur ma table d’examen, le bonheur de les toucher sans fin, à ma merci, sans rebuffades, sans honte. Sa main vient de se poser sur ma joue, je sursaute, je perds le contrôle de la situation, je me tends comme un ressort, son autre main rejoint mon autre joue et avec une infinie douceur elle attire ma bouche vers la sienne, je me laisse aller, la bête me brûle le cœur, ses lèvres touchent les miennes, la pointe de sa langue les écarte, cherche ma langue, la trouve. Nos bouches s’ouvrent en grand, nos salives se mélangent, c’est le baiser fougueux du héros hollywoodien qu’elle me donne, et, moi, je le reçois, comme une midinette, les bras ballants. Elle se redresse, se colle contre moi, m’étreint avec fougue, j’ai gardé mes gants d’examen, je ne sais pas quoi faire. Sans ...
... hésiter, elle déboutonne ma blouse, l’épluche en la faisant glisser sur mes épaules, en fait de même avec ma chemise, colle ses seins sur ma poitrine nue, sa bouche ne quitte pas la mienne, la bête est désorientée, elle lâche doucement prise. Elle quitte avec une rapidité extraordinaire son pantalon d’uniforme, après avoir déchaussé ses godillots du bout du pied. Elle m’accorde un instant de répit et se fait admirer, seulement vêtue d’un de ces minuscules slips de dentelle découvrant les fesses, jusqu’alors en vogue chez les stripteaseuses, et que les femmes respectables ont adoptés. Rien, sous l’uniforme, ne laissait deviner des formes aussi androgynes, pas de hanches bien prises, de fesses rondes, des bras et des jambes musclés, seuls ses seins fermes en font une femme. Je suis troublé, gêné, je ne sais pas comment me comporter, je me laisse prendre en charge, elle défait ma ceinture, me déculotte, exposant mon sexe à ses regards, je le protège de mes mains gantées de caoutchouc, elle rit, arrache mes gants pour mieux découvrir mon sexe. Elle m’attire vers la table d’examen, je la suis, empêtré dans mon pantalon tombé à mes chevilles. La bête m’a abandonné totalement lorsqu’elle a commencé à me caresser le sexe, je suis écartelé entre une envie folle de m’abandonner à ses caresses et la peur panique de voir la porte se refermer définitivement. Elle a escamoté avec grâce son ombre de dentelle, et m’offre le spectacle d’une intimité intégralement rasée, une autre mode qui a gagné ...