Médecin dans une prison de femmes (IV)
Datte: 07/03/2019,
Catégories:
fh,
médical,
fépilée,
Oral
... les femmes respectables, depuis que la pornographie câblée atteint les foyers. Ça me rassure, cette fente de fillette au bout d’un pubis en forme de berlingot à bout rectangulaire, je me détends, je n’ose toujours pas la toucher, elle me masturbe avec fougue, mais je n’arrive pas à entrer dans les dispositions adéquates. Alors, elle se met à genoux et porte mon membre flasque dans sa bouche. La sensation de chaleur, le contact de sa langue, la succion, la salive ; mon membre gonfle et j’éjacule aussitôt. Elle est surprise, recule, crache à plusieurs reprises en essuyant sa langue avec le bord de sa main. Mon excitation stoppée nette, je sens les contractions de ma verge comme des jets douloureux que je ne peux arrêter et quelques gouttes sortent encore de la tête de mon gland. — C’est pas grave, dit-elle en évacuant un dernier crachat, ça arrive, ça fait longtemps que tu n’as pas fait l’amour ? Je ne réponds pas à sa question, là où habituellement la bête hante mon corps, il ne reste que du vide. — J’ai senti que tu étais fragile, j’ai bien vu comment tu as traité Khadija, tu es tendre, toi, me dit-elle en s’accrochant à mon cou.— Habillez-vous, je vous en prie, si on nous trouvait ici ! répondis-je.— Oui, tu as raison, me dit-elle comme si elle réalisait soudain notre situation. On se reverra ? Tu sais, je te trouve beau… Je reste sans voix, car elle me ...
... plaît aussi, mais je suis malhabile en amour et je voudrais lui expliquer : — Ecoutez, c’est un peu plus compliqué que cela… je ne me sens pas prêt… Pas…— Vous dites tous la même chose, une fois que vous avez tiré votre coup, s’écria-t-elle avec des larmes dans les yeux. On vous suce et vous nous jetez comme des vieilles chaussettes. Elle éclate en sanglots, se pend à mon cou. — Oh ! Pardonne-moi, je me suis emportée.— Ce n’est pas grave, c’était vraiment bon et tu es très séduisante, lui dis-je, pensant la consoler. Il doit y avoir un tel décalage entre le son de ma voix, mon attitude corporelle et le sens de mes mots, que l’argument ne porte pas. Je la regarde, son corps de culturiste, son visage délicat, mais volontaire, ses fesses dures dont les muscles ondulent sous la peau à chaque mouvement ; elle s’habille sans hâte, avec méthode, se retourne, me regarde, puis passe le seuil de ma porte, se retourne une fois encore et, suprême hérésie pour une grande professionnelle, laisse la porte largement entrouverte. Un jour blanchâtre se faufile par le petit vasistas qui est l’unique fenêtre de mon antre. L’âme de cette femme hante encore les lieux. Je me sens rasséréné, bien, différent, je dois avouer qu’elle me plaît aussi. Je vais me lever et aller lui dire. Une lueur nouvelle s’allume dans mon cœur, une porte ne se referme pas, oui, je vais aller lui dire…