-
Ruisseau
Datte: 18/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... son intérêt et sa passion. La honteet les convenances l'avaient tenu. Je lui dis moi-même au bord deslarmes que j'avais deviné cela et que le concevant comme un père ethomme admirable, je m'étais toujours refusé à l'encourager en cettepente. Je l'abjurais cependant à ne pas sombrer dans la dépression et dene faire des gestes irréparables à l'encontre de sa femme.A ces paroles, il s'effondra. Je me levais et accourais jusqu'à lui, luipassant la main dans ses rares cheveux. J'étais attendrie et ne vitpoint d'inconvenance à ce qu'il glissa à ce moment subrepticement unemain sur ma cuisse. Cet homme n’avait-il droit d'être réconforté mêmeconsolé ? Je ne sais comment je fus peu après sur ses genoux. Ilm'embrassait. Mon corps loin de se révolter opéra comme une révolution.On eût dit que des ailes inconnus me poussaient. La chenille devenaitd'un coup papillon. Un feu me brûlait de l'intérieur.A cette heure les autres étaient partis. Aucun ne vit que j'étaisaccroupie à le sucer. Depuis longtemps je n'avais effectué unefellation. Je retrouvais ce geste et même y découvrais un plaisirinsolite que je n'avais jamais éprouvé pour le mari. On eût dit que letemps m'avait frustré trop de cela et que je voulais dès ce soir toutratt****r. Je ne fus pas peu étonnée de m'entendre dire à ce chef qu'ilavait une belle queue. Mon ton était vulgaire. Il semblait que je fuspossédée par une sorcière ou une putain. Ce n'était pas moi quiproférait ces mots.Mes propos animèrent cet homme et semblèrent ...
... l'autoriser à ce qu'il usade moi telle une catin. Je mets cela sur le compte de l'alcool et de lafatigue. N'empêche il me troussa et me pris contre puis sur son bureau.Il ajoutait à cela force insultes. Je ne le reconnaissais point. Ilavait les yeux exorbités presqu'à baver tel un dément. Plusieurs fois lenom de salope retentit. Je me dis qu’il songeait depuis longtemps celade moi. Peut-être d'une certaine façon m’étais-je prêté à une telleapparence. J'eus droit, suprême ignominie, et ce soir-là à une sodomieacharnée.Il éjacula en mon anus. J’avais toujours abhorré cette pratique de monmari. Depuis longtemps mon anus n'avait été forcé. Celui-ci pourtant ensembla content. Il reçut volontiers le jus du patron. Celui-ci soudainrevigoré, ragaillardi m'intima à le sucer encore. Tout le long descouloirs tandis que nous sortions, il m’enlaça et caressa. Il devaitencore un mois commander le service. Il prenait tout prétexte à meconvoquer et après avoir fermé la porte, à me sauter. Durant un an etaprès qu'il fut en retraite, nous eûmes des relations. On baisait àl'hôtel.Entre temps j'avais pris goût à la chose. Je lui avais dis mainte foisque nous faisions du mal tant à sa femme qu'à mon mari. La hontecommençait à me miner. J'étais humiliée surtout de me découvrir sifaible dans le vice. Tant bien que mal et dégrisé de cet homme que jedécouvrais sous le jour d'un vieillard libidineux, je sus m'affranchirde lui et le résoudre à me laisser et me remplacer par une autre cequ'il fit peu ...