1. Ruisseau


    Datte: 18/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... après. Je sus par la rumeur en effet qu'une plus jeunecollègue était devenue sa maîtresse. Je fis en sorte d’enfouir au fondde mon esprit cette cruelle et infâme expérience.J'avais cru oublier ce fatal épisode. Je décidais de le considérer commeun fait grotesque et incongru. L'alcool me dis-je m’avait rendu folle etpour le reste l'estime et la sujétion au devoir m'avaient sûrementaliéné à cet homme. Mon père de même longtemps abusa de moi d'une telleautorité. Mon masochisme latent venait de là. Il explique une partie dema vie. Un psy plus tard me le confirma. Peut-être ai-je voulu en guériren me jetant vite dans l'autre extrême. Le vice et le sexe me révélèrentce jour-là leur force et leur charme.Autre détail et ce qui peut expliquer la convoitise de mon ancien chef,je n’avais jamais pu me départir de porter même à mon âge, bas,escarpins et jupes assez courtes. Non pas que je fus une garce mais jeme flattais d'avoir été nantie de beaux avantages et je ne voyais pasmal à les offrir à d'autres regards. Par ailleurs d'approche austèrevoire revêche je pensais assez que cela arrêtait les velléités vulgaireset lestes. Dans mon service on avait admis que c'était mon uniforme etqu'il n'y avait dessous nulle volonté d'allumer ni de provoquer.Plaisantant les collègues disaient : "Elle veut rester jeune."Tout cela eût conséquence que j'eus suite à une refonte du service, unnouveau collaborateur un peu plus jeune que moi et qu'on établit à égalecompétence de la mienne. J'y vis comme un ...
    ... affront d'autant que le typeétait puant genre arrogant et vil Don Juan. En effet il avait une bellegueule de voyou. Il ne se cacha pas les bonnes fortunes qu'il obtintrapidement sur le lieu. Une femme devait coucher si elle voulait obtenirquelque chose de lui. Il me considéra dès le premier jour avec ironie.Il laissa entendre que ma mise ne m'allait pas et que j'en étais ridicule.Je fus piquée au vif en restant mortifiée. j'en étais presqu'à regrettermon ancien chef. Je ne vis pas que le vent tournait et que le nouveaugodelureau avait intérêt à me ménager et à entrer bientôt dans mesgrâces. Pour une future promotion il s'aperçut en effet qu'on tiendraiten bonne part mes avis. Je pouvais d'un trait nuire à sa carrière. Aussine fus-je pas peu étonnée d'observer un changement radical à mon égard.Mon instinct me souffla cependant de me méfier. De toute façonj’aspirais à une paix entre nous. Que du moins le calme revint.Ce fut à cet époque je sus la trahison de mon mari sur tant d'années.J'étais alors dans un esprit de vengeance et de ressentiment. En mêmetemps mon corps chaque matin me signifiait que lui manquait sa ration desexe ce que lui avait prodigué durant un temps l'autre vieillardvicieux. Je n’avais pas été sauté depuis deux mois. J’allais davantage àmes cours de gym mais cela n'entamait pas cette frustration. Suprêmehonte j'eus recours à un site internet pour acquérir un jeu de godesmais je trouvais vite fade et ennuyeux ce plaisir que ceux-ci meprocuraient. J'en vins à ...