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Ruisseau
Datte: 18/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... allumer.Cette fois je rendais les regards adressés dans la rue. Jusqu'alorsj’avais méprisé et snobé ces dragueurs. Je n'avais point besoin de cessots pour savoir que j'avais un cul et des jambes magnifiques. Tout celan'appartenait qu'à un mari que je croyais chérir. Maintenant j’adressaisun sourire fut-il sans ostentation à un mec qui me sifflait oum'adressait un mot si grivois. Même une ou deux fois vins-je à accepterde boire un verre avec un type croisé sur le trottoir. L'un obtintd'être sucé dans sa voiture et de fourrer ma chatte. Ce fut comme undéclic. Je n'eus nul honte à cela.Je vins à retrouver mon goût d'être dominée et humiliée. J'avais adoréanciennement que mon patron me traita de salope. Je voulais à nouveauéprouver cette sensation et cette jouissance. Il m'importait peu de mecomporter en femme facile. Bientôt il ne fut pas rare de me croiser lesoir dans un bar minable et de suivre un type selon dans un bosquet, destoilettes ou une voiture. J'appréciais maintenant sucer une queue. Jesavais pourquoi je portais court. Mes culottes devinrent transparentes.J’aimais des mains mâles sur mes cuisses.Aussi vint-il à propos que je céda vite à mon nouveau collaborateur. Enchasseur avisé il observa vite mon récent changement. Il sentait à millelieux une salope avérée. D'autres gars du bureau lui confirmèrent quej’avais maintenant des façons troublantes de sourire voire de rouler deshanches dans ...
... les couloirs. Considérant le fruit mur, il tint à m'inviterà déjeuner. On devait avoir une franche discussion pour faire la paix.Il me dragua sans vergogne. Il me dit qu'à cause d'autres il s'étaitcomporté de façon ignoble. Revenu de ses préventions, il voulait sefaire pardonner.Il draguait remarquablement. Je goûtais tel du miel ses perfidesparoles. De toute façon j'avais décidé qu'il me sauterait. Il me tardaitd’être déjà dans sa voiture. Il me fit boire pour s'assurer de sontriomphe. En échange je mis un point d'honneur à lui offrir ce talent desuceuse que j’avais affermi depuis peu. Il baisait rapidement et avecdextérité. Par la suite et pour le moquer je lui dis qu'il aurait faitun parfait acteur de porno. En retour il me confia avec une relativesincérité qu'il était charmé de mes capacités au pieu. Nous baisâmesainsi deux, trois fois la semaine.Pour le reste il me fut facile d'obtenir le divorce et ainsi de medébarrasser du mari. J'avais le loisir à présent d'amener n'importe quidans mon lit. Je jetais mon dévolu sur de jeunes hommes. Sur ceux-ciJ'exerçais un indéniable pouvoir. Ils étaient souvent en quête de femmesmûres et expérimentées et pour dire salopes. Dans les bars ilsrepéraient vite mes cuisses et mon œil aguicheur. Mon style grandebourgeoise leur en imposait. Ils avaient le sentiment de posséder uneprise de choix. Goûtant le black et le beur je me vautrais ainsi dans leruisseau.