CONtent de son SORt !
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
fh,
soubrette,
pénétratio,
fsodo,
pastiche,
humour,
... part. Cela dit, j’arriverai un jour à bien jouer au tennis : pour parvenir aubut, il faut beaucoup decourage, et vous savez que j’en ai à revendre. Je lui répondis : — Moi, je ne m’y risque plus. La dernière fois que j’y ai joué, j’ai presque amputé lajambe de mon adversaire avec un service trop violent. Il faut dire que le vent sifflait si fort… Elle poursuivit : — Dites-moi, pourrais-je venir à dîner chez vous ce soir ?— Je n’ai pas grand-chose à vous offrir, mais ce sera avec grand plaisir !— Si vous voulez, vous pouvez venir chez moi. J’ai encore déménagé ; en fait, j’ai trouvé mon nouvel appartement dans les petites annonces : « Duplex àsaisir,boulevard des Filles ducalvaire. » J’ai foncé et je l’ai acheté. Étrangement, la comtesse adore déménager. Que degîtes cette femme habita ! Je lui répondis : — D’accord, je serai là vers vingt heures. Serons-nous nombreux ?— Non, il faut êtrepeu pour biendîner. Il n’y aura que vous et moi. Et Cosette, naturellement. Cosette, c’est sa bonne. Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aime bien ce boulevard ; on y trouve des vendeusespétillantes qui proposent de superbesfripes ; moi qui suis un épicurien à la recherche dessources dubonheur, qu’est-ce que j’aipu déceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques ! Enfin j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement : — C’est pour quoi ? On reconnaît les concierges à leur avidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui ...
... glissant quelques euros dans la main. Après qu’il m’ait indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne, vint m’ouvrir et m’amena dans le salon. — Bonjour, Professeur ! Vous ai-je dit que je suis professeur ? Quel beaumétier, professeur ! Enfin, je digresse. — Bonjour, Comtesse ! Vous avez une mine superbe, toujours aussi belle et aussi radieuse…— Et vous, toujours aussi flatteur à ce que je vois, minauda-t-elle. Voulez-vous que nous passions à table tout de suite ?— Comme il vous plaira Comtesse. Mais j’espère que vous ne vous êtes pas compliqué la vie pour moi. La comtesse me répondit : — Non, Cosette a cuisiné des moules. C’est tout simple, mais copieux. Ensuite, nous aurons des tomates farcies. De fait, Cosette nous apporte un énorme saladier de moules marinières qui sent vraiment bon. Bonne de la comtesse, Cosette est une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il faut et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle porte des tresses comme une petite fille de bonne famille. Elle annonce le plat : — Moules marinières à la Cosette ; admirez donc l’écaille de ces moules ! D’où vient cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ses yeux ? Nous dégustons donc les moules avec la bonne qui s’est jointe à nous, puis arrivent les tomates farcies. —Goûtez-moi cettefarce… Cosette est certainement la meilleure cuisinière que j’ai eue, ...