CONtent de son SORt !
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
fh,
soubrette,
pénétratio,
fsodo,
pastiche,
humour,
... annonce la comtesse. C’est vrai que la farce est excellente, et, le petit vin aidant, je me laisse à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un strip-tease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais… La comtesse me ramène à la réalité : — Pour dessert, malheureusement, nous n’avons que de la crème Mont-Blanc. Je rétorque : — Ce n’est pas grave : il n’y a rien de meilleur que legoût de Mont-Blanc ! Après ce dessert,Cosette nous offre sonjus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé. — Connaissez-vous l’Afrique, cher ami ?— Oui, j’y ai habité. L’Afrique est bonne hôtesse, mais ses canicules ne m’ont pas emballé. Par contre, les Africaines, si ! Mon sexe se dresse dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir. Cosette, qui n’a pas ses yeux dans sa poche, a remarqué la bosse qui déforme mon pantalon et me fait un clin d’œil des plus vicieux. J’en reste comme deux ronds de flan. Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ? S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renverse malencontreusement sur mon pantalon. — Comme je suis maladroite ! Veuillez m’excuser, Monsieur, je suis vraiment désolée. Si vous voulez bien m’accompagner dans la lingerie, je vais essayer de nettoyer les dégâts. Je regarde la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçois qu’avec la torpeur ambiante elle s’est assoupie dans son fauteuil. Je pense en moi-même« À quoi bon mepousser pour que je voustrompe, Comtesse ? » Je suis donc Cosette. Elle monte à ...
... l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle rentre dans la lingerie où j’entre également. Elle referme la porte derrière moi et y met un tour de clé. Ceci fait, elle se retourne et, se collant à moi, elle m’embrasse à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continue à tendre la toile de mon pantalon. — Enlevons ce pantalon qui vous gêne, nous le nettoierons plus tard. Je me retrouve ainsi en caleçon et chemise devant la bonne qui s’empresse de laisser tomber à ses pieds sa robe de soubrette. Quelle surprise ! Sous cette robe qui montait jusqu’au cou, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques, en forme de poire, avec une large aréole plus foncée. Abaissant mon visage, j’aspire entre mes lèvres la pointe des seins tout en les caressant de mes deux mains. Cosette n’est plus vêtue que d’un mignon tanga en satin blanc. Je le saisis des deux côtés et, au lieu de le faire descendre, je tire dessus légèrement. De cette manière, l’étoffe du slip s’insinue entre les grandes lèvres du sexe de Cosette. — Petit coquin… Vous aimez ça, hein ? Et que pensez-vous de l’arrière ? Elle se tourne et dévoile ses fesses largement exposées, le tissu de la culotte partageant nettement les deux globes bien fermes en s’enfonçant dans le sillon. — Superbe ! Je la débarrasse alors de son tanga, le rejetant après en avoir humé le parfum. Elle fait de même avec mon caleçon. De la main droite je remonte le long de la jambe de Cosette, puis frôlant l’intérieur des cuisses, ...