1. Paris, puis Londres


    Datte: 17/03/2019, Catégories: fh, couple, hotel, Collègues / Travail amour, Oral pénétratio, fsodo,

    ... m’a rendu un baiser passionné. Je l’ai plaquée contre moi pour mieux la caresser, enflammé par la courbure de ses reins et la fermeté de ses fesses. — Oui… murmura-t-elle. Une invitation à la prendre sur le champ. Je troussai sa jupe, aventurai une main entre ses cuisses pour lui caresser la vulve à travers sa culotte. Elle s’abandonna en gémissant et en écartant légèrement les jambes. Encouragé, poussant le fin tissu sur le côté, je plongeai un doigt, puis deux, dans un vagin qui se révéla ruisselant. Son regard chavira. Elle devint toute molle. Je l’ai alors assise sur le coin d’une table comme font les patrons avec leur secrétaire tandis qu’elle déboutonnait fébrilement mon pantalon pour libérer mon sexe. — Tu ne risques pas de tomber enceinte ? lui demandai-je avec ce qui me restait de lucidité.— Pas plus qu’à Val Thorens, me répondit-elle. Écartant sa culotte le plus possible, je me suis enfoncé en elle d’une seule poussée. Le nirvana ! Je pénétrais la femme dont je rêvais depuis tant d’années… Elle poussa une sorte de couinement extasié, se suspendit à mon cou, fit remonter ses cuisses et croisa ses longues jambes dans mon dos. Les talons de ses escarpins me cognaient les fesses, mais je n’en avais cure. Fou de désir, le cœur à 180, je l’ai martelée de violents coups de reins, la faisant gémir à chaque fois que mon sexe s’enfonçait jusqu’à la garde au fond de son ventre. Ses gémissements étouffés se firent de plus en plus aigus, signe de la montée de son plaisir. Dans ...
    ... une sorte de sprint final, j’ai accéléré la cadence. Nous explosâmes ensemble, elle en poussant un cri animal, moi avec une pluie d’étoiles dans la tête. Je l’ai remplie d’un torrent de sperme. Le tout n’avait pas duré deux minutes. — Oh, my God ! s’exclama-t-elle, toute pantelante (que de souvenirs dans cette expression !). C’est dingue, avec toi. Tu me pénètres et je me mets à jouir. C’est magique. Je t’ai vraiment dans la peau !— Sandy, la questionnai-je pendant qu’elle tentait de remettre de l’ordre dans sa tenue, pourquoi as-tu voulu me revoir ?— Je t’expliquerai plus tard. Chris va se demander ce que je fabrique… surtout que j’ai intérêt à passer par la salle de bain, vu l’état de ma petite culotte ! s’amusa-t-elle.— Je te revois quand ?— Demain matin, nous faisons du shopping ; mais en début d’après-midi, il a un rendez-vous. Je serai libre. Tu ne travailles pas le samedi, j’espère ?— Non.— Génial ! J’irai te rejoindre chez toi. Je connais ton adresse : tu habites le quartier latin, c’est ça ? Elle m’embrassa et me laissa en plan, perplexe. Elle paraissait tout savoir sur moi. Les questions se bousculaient dans ma tête. Avait-elle l’habitude de tromper son mari ? Songeait-elle à le quitter ? Je me mis à rêver. —ooOoo— Le lendemain, après une nuit fiévreuse, je fis le ménage dans mon petit deux-pièces. C’est vers 16 heures, alors que je commençais à désespérer, qu’elle sonna à ma porte. Ravissante. Elle était vêtue cette fois d’une robe imprimée, courte et moulante, qui ...
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