Christine ou les infortunes du vice - Histoires de Sexe

Christine ou les infortunes du vice

... vrai supplice pour mon petit vagin. Je remonte doucement ma jupe au niveau du ventre et fais glisser avec mon doigt ma culotte de dentelle. Un infime bruit sur la porte me fait sursauter, pourtant le mécanisme de fermeture reste immobile. Je repends ma tâche et entreprends de faire ressortir les perles, le contact du glissement, malgré la situation de tension, me fait à nouveau gémir (ces trucs c’est une vrai délire pour femme). Je réalise soudain l’horreur, le petit bruit n’était pas la fermeture de la porte mais bien l’œilleton. Mon soupçon s’envole quand soudainement le lourd mécanisme de verrouillage glisse, laissant la porte de la cellule s’ouvrir. Je suis pétrifiée, les cuisses ouvertes et la moitié du collier de perles sortie de mon intimité. — « Tiens tiens, mais c’est qu’on a un vrai phénomène cette nuit, qu’est-ce que tu nous cache là ma belle, rien qui ne puisse figurer sur un procès verbal ! ». Le gros flic s’est déjà approché, sa grosse main a pris mes joue et il vient déposer un baiser baveux sur ma bouche. — « Ma proposition tient toujours ma belle, une petite demi-heure avec mon collègue et on te ramène à ta voiture ». Il a glissé son autre grosse main entre mes cuisses et caresse mon vagin, encore entravé, avec ses gros doigts. Le contact est électrique, malgré ma répulsion je suis assaillie par un torrent de désirs primaires. — « Alors ma jolie, tu te décides, c’est oui ou c’est non ? » Il a accentué sa caresse entre mes cuisses. Dans un murmure inaudible ...

... je me soumets docilement en fermant les yeux. En moins de temps qu’il n’en faut, le deuxième flic est là, son pantalon réglementaire sur les genoux. Il prend place devant moi et me présente une grande verge noueuse. Le gros flic m’a passé les menottes et je me retrouve suspendue comme un quartier de viande à une barre de fer au milieu de la cellule. Ses mains agiles se sont débarrassées de mon top et de l’agrafe de mon soutien-gorge. — « Des seins de fillette mais tu restes un sacré beau petit lot » Le gros flic m’a fait mettre à genoux sur le banc en faisant glisser les menottes le long du mur, cambrée les reins en arrière pour bien mâter mon intimité avant de la violer. Il fait glisser ma petite jupe et siffle entre ses dents. — « Cette grande salope a vraiment un petit cul et des goûts d’enfer ». Le jeune ne donne pas sa part aux chiens, et entreprend de me baiser la bouche. Je ne le suce pas avec envie, alors il donne de grand va-et-vient entre mes lèvres, cela semble le ravir et il échange des railleries avec son vieux collègue. — « Oui, mais elle ne coopère pas complètement chef, il faut la stimuler ».— « Perle de geisha et dentelle blanche, tu as sonné à la bonne porte ma grande, tu en auras pour le prix de ton amende ». L’autre pervers et expérimenté m’a vite jugé, laissant les perles en place, c’est son gros pouce qui vient perforer mon petit trou. — « Avec une paire de fesses comme cela, je vais laisser ce truc de garce entre ses cuisses et m’occuper de ses reins ». ...