Rachel - Histoires de Sexe

Rachel

... nana comme toi n’a pas de proposition !— Merci, mais tu sais, je suis surtout ici pour travailler, d’ailleurs il faut que je me trouve un petit job, il n’est pas question que je vive à tes crochets.— Tu changes de sujet ma chérie, Steve et Tom, que nous avons rencontrés la semaine dernière, m’ont posé beaucoup de questions sur toi, je les sens subjugués par ta french touch.— Tu rigoles ?— Cesse de jouer les saintes-nitouches, j’y vois clair dans ton jeu, vis ta vie, je préférerais te voir me réveiller en criant sous les bons offices d’un jeune étudiant passionné qu’enfermée dans ta chambre avec tes cahiers. Tu me donnerais presque des complexes.— Ok, ok, je te promets que je vais ouvrir le bal, tu as d’ailleurs raison, il est tant que je goûte la marchandise made in US ! Nous pouffons de rire. Je passe sur le canapé devant une des deux cent chaînes payantes américaines. — Que dirais-tu d’une petite liqueur ? me lance-t-elle de la chambre.— Ok, me dis-je, Amérique, terre de tous les vices. Et voilà Rachel qui débarque dans le salon, dessinée dans un vertigineux déshabillé. Le sous-vêtement caresse ses fines cuisses, dessine ses fesses bombées et parvient avec beaucoup de mal, compte tenu de son ouverture barrée d’un petit nœud sur le devant, à contenir son arrogante et majestueuse poitrine. Le déshabillé, façon maillot de bain une pièce, plonge entre ses cuisses et sculpte à merveille son bassin étroit et sa fine toison. Irrésistible pour tout homme normalement constitué, ...

... dérangeant à l’extrême pour une jeune fille fraîchement débarquée. Elle s’est calée dans un fauteuil en position du lotus et se penche pour prendre son verre en me souriant. Je ne peux manquer une vue plongeante sur ses seins gonflés. — Tu es vraiment magnifique, ne puis-je m’empêcher de lui dire. Mes joues rougissent légèrement.— Merci, ma douce petite française, mais je n’ai pas ton charme latin, et puis il faut que je m’occupe de ta garde robe. Tu ne mets que de jeans et des robes des années nonante ! Sur ce, elle se relève et court en gloussant vers sa chambre. Je vois malgré moi son petit abricot décoré d’une petite toison blonde quand elle se lève du fauteuil. Un démon, vous dis-je. La voilà revenue en moins de cinq minutes avec un carton de rangement de vêtements dans les mains. Elle fouille et en sort une petite robe blanche d’été qu’elle regarde avec une petite moue. — Oui, cela devrait t’aller, essaie-la.— Quoi ?— Oui allez, je vais te relooker, tu as besoin d’un petit booster. Elle me sourit. — Bon ok, je capitule car tu ne vas pas me lâcher. Elle se plante devant moi et fait mine de célébrer une grande victoire. — La belle Ludivine, représentant la France, s’ouvre à la folie américaine, dit-elle avant d’éclater de rire. Je ramasse le vêtement et fait mine de me diriger vers ma chambre. Elle me barre la route, incrédule. — Tu ne vas quand même pas me dire que tu veux te cacher de moi, nous vivons ensemble depuis plusieurs semaines et on est rien qu’entre filles.— Je ...