1. Rachel


    Datte: 18/03/2019, Catégories: f, fh, ff, jeunes, prost, école, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, init,

    ... bleus de soie, des fleurs dans la chambre et même un adorable petit nounours avec un drapeau français. Je lui dépose un baiser sur la joue en la remerciant. Notre complicité ne cesse de grandir. Habiter ensemble vide l’appartement de Rachel de sa meute de poursuivants, ce qui lui permet d’éviter, dit-elle, « qu’il en traîne moins souvent un de différent dans son lit ». Pour moi, ce n’est plus la traversée du désert, intégrée, mon accent français fait des ravages et les sollicitations pour « approfondir les relations » ou « passer un bon moment » ne manquent pas. Je dois dire que je commence à trouver le temps long sans sexe et que je ne serais pas contre une petite aventure avec un bel américain bien musclé. Je me suis enfermée dans ma chambre pour travailler en ce mardi soir et je ressens un petit besoin d’aller aux toilettes. Je passe la porte et me rapproche du petit coin quand je vois entre-ouverte la salle de bain. Malgré moi, je glisse un coup d’œil. Là, je prends un direct sur le menton quand je découvre le spectacle : le corps sculptural de Rachel en train de se dénuder. Elle a un dos magnifique avec ses fines épaules et on devine les traits majestueux de ses seins lourds et arrogants. Sa serviette découvre une chute de reins vertigineuse ponctuant une paire de jambes interminables que mes yeux caressent. Elle se penche pour ouvrir le robinet d’eau et son entrejambe laisse deviner en s’arquant, le doux renflement de son sexe et de sa toison blonde. Elle s’est allongée ...
    ... dans la baignoire où coule une eau fumante. Doucement, elle s’étire et je vois disparaître une main sous le niveau de l’eau. Bientôt son corps se cambre, ses yeux se plissent et sa bouche laisse deviner un premier soupir. Le spectacle de Rachel en train de se caresser me fige sur place et je ne peux m’empêcher de passer une main sous mon sein gauche pour le presser. C’est tout mon corps qui me lance un irrésistible appel au désir après trois mois de privation. J’ai envie de me faire du bien. Première étape, les toilettes. Suprême délice de femme, je me retiens jusqu’au bout de l’envie de pisser puis lâche tout d’un coup. Je savoure les délices du liquide chaud sur mon con serré et je file dans ma chambre et m’enfermant à double tour. Sans finesse, je déboutonne ma roche sur le devant et glisse une main salvatrice sous mon petit slip blanc. Deux petites minutes de mes doigts suffisent pour me faire gémir de plaisir et je mords l’oreiller pour étouffer le bruit de ma bouche. C’est mon premier orgasme américain. Nous voilà à table, une nouvelle fois les délices d’un traiteur – on ne se refuse rien, même si cela me gêne un peu de la voir tout payer. Nous plaisantons, cancanons sur les uns et les autres avec une complicité grandissante. Nous en venons donc au sujet numéro 1 de campus du monde entier : les hommes. — Surtout n’hésite pas à ramener des garçons à la maison, tu es là comme chez toi, je ne veux surtout pas que cela te gêne vis-à-vis de moi et ne me dis pas qu’une jolie ...
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