Rachel
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
jeunes,
prost,
école,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
init,
... suis un peu gênée, mais tu as raison je suis ridicule.— N’en parlons plus, enfile-la vite. D’un geste que je veux le plus naturel possible, j’ouvre ma chemise puis fais glisser mon jean et essayant de ne pas la regarder. — Tu peux parler de moi, tu es un véritable ange, ces seins, ces seins mais comment fais-tu pour avoir de si beaux seins au naturel, moi c’est grâce au bistouri ! Elle fait le tour de ma personne et renforce ma gêne, même si je ne suis pas une jeune innocente loin de là. C’est sans doute le fait que ce soit une femme, qui contemple ce que tant d’hommes ont déjà vu. — Tu es sublime, un rien de plus osé dans la tenue, un soupçon de maquillage et nous allons révolutionner le campus. La petite robe bleue se révèle être d’un tissu très fin qui s’arrête à peine à mi-cuisse et me dénude complètement le dos. Ne faisant que 1m72 par rapport à son mètre 80, j’en déduis qu’elle devait lui être bien trop courte pour être raisonnable. — Tu es adorable, imagine au milieu des amphis, ce que cela pourrait donner ! Eclats de rire. J’imagine assez bien surtout avec une robe au ras des fesses quand je m’assois et une vue diagonale sur mes seins compte tenu de l’ouverture de la robe, dès que je tends un bras. De quoi distraire même des meilleurs cours ! — En voilà une de mes préférées, surtout pour danser en boîte ! J’ai à peine glissée un coup d’œil approbateur dans la glace, qu’elle me tend ce qui ressemble à une robe fourreau, rouge. La robe est hyper serrée et moule ...
... littéralement mes reins avec un effet que l’on ne peut nier. Mes seins sont parfaitement soutenus et déforment le tissu de façon harmonieuse et très excitante. — On en mangerait ! Une drôle de lumière brille dans ses yeux. Rachel se colle à moi et passe les mains autour de la taille, elle m’embrasse à pleine bouche et je sens sa langue forcer le passage de mes lèvres. J’ai instinctivement reculé, elle se dégage et s’enfuit en courant dans sa chambre. Je reste plantée là, ciselée dans mon fourreau rouge, les jambes légèrement flageolantes. J’ai rejoint ma chambre et passé une nuisette, je garde ce goût de fille dans la bouche et j’ai des idées plein la tête. Je me demande si ce demi-baiser était une de ces facéties de femmes hyper-actives et provocantes ou un vrai test pour voir ma réaction. La deuxième solution sous-entendrait que Rachel est bisexuelle et que je ferais bien son affaire. Troubles. Je ne tarde pas à m’endormir, non sans avoir satisfait une nouvelle fois mon plaisir solitaire. Je n’ai, pendant mes caresses, pas pu penser à autre chose qu’à la jolie petite frimousse de Rachel. La chaleur est accablante, je troque ma petite nuisette contre une fine culotte blanche et relève les draps. Exposition impudique, réservée aux étoiles de la nuit américaine. Mon sommeil est soudainement troublé, un bruit à peine audible, un ressenti étrange comme une présence, mes yeux s’ouvrent et s’acclimatent peu à peu, ils cherchent dans la quasi-pénombre. Une ombre bouge de façon infime, un ...