1. Vacances, sexe et exhib. (9)


    Datte: 19/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Séance SM Il fait jour ; le soleil de ce début d’été est déjà chaud. Je flemmarde un peu en me caressant tout le corps. Je me tords les tétons ; aujourd’hui, j’ai envie de trucs bizarres : de devenir l’esclave des filles, de je ne sais pas quoi... J’imagine des choses insensées, violentes, d’avoir mal aux fesses. Je m’imagine attachée et suspendue par les bras ; je ferme les yeux. Le fouet vient de m’arracher un cri ; mon entrejambe m’informe que l’envie est déjà là. La porte de la chambre s’ouvre avec violence, un hurlement me ramène à la réalité : — Alors, espèce de flemmarde, encore au lit ? C’est Tatiana qui me hurle dessus ; elle a des trucs dans les mains. Je commence à me lever, mais elle et Élodie sont plus rapides que moi : elles sautent sur le lit et me bloquent les bras. J’ai à peine ouvert la bouche pour protester qu’elles me mettent une boule tenue par un lacet noué derrière ma nuque ; je hurle, mais le son ne franchit pas mes lèvres. J’ai des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Mon souhait se réalise ; mon excitation est terrible, je mouille, je n’en peux plus. Tatiana me tire hors du lit ; les bracelets des poignets sont attachés à une laisse. Élodie m’envoie une terrible claque sur le cul. « Moi qui rêvais de douleur il n’y a même pas un quart d’heure, j’ai le pressentiment que je vais être servie… » Je dévale l’escalier, toujours tirée par Tatiana. Nous sortons devant la piscine. — Tu as pris une douche ? me demande Élodie. Ne pouvant pas parler, ...
    ... je fais « non » de la tête. Sur un coup d’épaule, je perds l’équilibre ; à peine le temps de retenir ma respiration que je me retrouve la tête la première dans l’eau fraîche de la piscine, à trois mètres de profondeur. Très bonne nageuse, je traverse en apnée le bassin dans le sens de la longueur pour ressortir par l’escalier. Les filles m’attendent ; elles reprennent la laisse. — Ça fait du bien, n’est-ce pas… ironise Élodie. J’affirme d’un signe de la tête. Le vent frais matinal me fait frissonner. — Tu as froid ? T’inquiète, on va te réchauffer, me dit Tatiana en m’entraînant vers le garage. Avant de passer la porte de derrière, Élodie me met un bandeau sur les yeux. Je n’y vois rien. Elle me tire ; je n’ai pas d’autre alternative que de les suivre. On me détache, on s’affaire autour de mes chevilles et de mes poignets qui sont tirés vers le haut, les bras et les jambes écartés au maximum. « Que sont-ils en train de faire ? Dame Erika ! La croix de Saint-André ! Les filles attachées nues, et le seigneur de crier "Foutez-moi ces sorcières !" » Aïe ! La douleur est vive… Le fouet a sifflé à trois reprises : une fois sur mes fesses, puis la lanière s’est enroulée autour de mon torse et son extrémité m’a frappé les seins, et la troisième m’a certainement strié le dos. Plus rien. Le silence. Sans doute m’ont-ils laissée là. Non : mes bras redescendent, on me force à m’asseoir puis à m’allonger sur le sol ; sur un tapis, je pense. On s’affaire autour de moi. Pas un mot, pas une ...
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