1. Vacances, sexe et exhib. (9)


    Datte: 19/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et les jambes, sans oublier les pieds, avec une douceur et une délicatesse sublime. Maintenant totalement immobile, les yeux clos, je m’abandonne à ce plaisir. Le temps s’arrête ; c’est long, très long… J’ai faim, j’ai soif, je n’ose réclamer, j’attends en savourant cet instant. Plus de caresses. On me prend la main droite, le spéculum se détend ; je vais souffler un peu, sans doute. On me détache les pieds et la main gauche. Je suis libre ! Une odeur de café. On me souffle à l’oreille : — Tu peux t’asseoir et manger. Je me retourne. Au-dessus de moi, trois têtes, le sourire jusqu’aux oreilles. Pat se penche sur moi, m’embrasse avec sa fougue habituelle puis se retire avec un « Bonjour, ma chérie ! » Élodie s’approche, me prend le visage entre ses mains, me dépose de petits baisers partout sur le visage ; c’est bon, doux, sensuel, puis elle se retire aussi avec un « Bonjour, Julie ! » Tatiana se penche à son tour, me prend la tête entre ses mains. Ses lèvres effleurent les miennes, sa langue les remplace, j’entrouvre la bouche, sa langue s’infiltre, j’ouvre encore, ferme les yeux. C’est la première fois que j’embrasse une fille ; c’est bon, mon cœur bat très fort. Nos langues se mélangent un court instant. « Il faut que j’apprenne à Pat à embrasser comme ça ! » Elle aussi se retire en me disant « Bonjour, Julie… Allez, mange un peu, prends des forces. » Son sourire en dit long. Je me redresse. Le transat est très large : c’est un deux-places tout neuf. Je m’assois en ...
    ... tailleur, et Pat dépose un plateau de lit garni de café, jus d’orange, fruits, viennoiseries. — Merci, merci beaucoup ! — Prends tout ton temps ; savoure ton petit déjeuner. Nous, on te regarde, reprend Élodie. Elles se sont installées, nues, sur la balancelle en face de moi et me dévisagent avec un sourire de satisfaction sur les lèvres ; je me demande si elles ne sont pas en train de mijoter un truc… J’avale la moitié du délicieux jus d’orange maison, puis j’attaque un croissant. Les filles, l’air sournois, se caressent en m’excitant par des balayages de langues sur les lèvres tout en simulant un début d’orgasme. Elles se lèchent, couinent comme deux chattes en chaleur. Tiens… Elles miaulent, maintenant ! Elles doivent avoir faim pour se téter les seins aussi goulûment. Elles me font mouiller, ces deux salopes… Je suis en train de déjeuner tranquillement, et elles se pelotent comme des folles ! Mon chéri s’y met, maintenant ; et que je te tripote, et que je te bisouille. Putain, je mouille comme une folle ! Le café est divin, tout est beau, magnifique ; je suis amoureuse et heureuse. J’ai terminé mon café. Elles se lèvent, s’approchent, me remettent le bâillon-boule, m’allongent sur le ventre et m’attachent à nouveau. Je suis immobilisée, la chatte et le cul exposés, offerts à leur merci. Ils doivent se régaler de ce spectacle… Je ne sais pas ce qu’ils me réservent, mais j’en suis déjà toute excitée. Un liquide froid et gras coule sur mon anus et ruisselle jusqu’à ma chatte. Un ...
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