Vacances, sexe et exhib. (9)
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... encore ! Des doigts forcent le passage ; une main, maintenant. Je m’ouvre le plus que je peux, ondule du bassin : c’est la seule partie de mon corps que je peux bouger. L’orgasme arrive, je ne peux plus le retenir. Il m’envahit, puissant. Et cette main qui progresse toujours en moi et qui me bloque le bassin… Je n’ai encore jamais connu un tel orgasme. Habituellement, c’est tout mon corps qui est secoué ; mais là, ce n’est que l’intérieur qui vibre. La tête me tourne. Pat me lâche, la main sort de moi. Ils me détachent, me retournent et me rattachent. Cette fois-ci, c’est de la crème qu’ils m’étalent sur les fesses et le dos. La douleur a disparu ; sans doute qu’ils appliquent la crème pour éliminer les traces. Pat se penche vers moi : — Ça va ? Pas trop mal ? — Oh oui, que ça va ! Vous êtes complètement fous : vous m’avez fait mal, mais c’est extraordinairement bon ! On recommence quand vous voulez. Merci, mon amour, tu es génial ; je t’aime… Puis je lui souffle : — Qu’est-ce que vous allez me faire ? — Chut, mon amour, mais prépare ton cul. Je fonds de bonheur : mon cul… peut-être qu’ils vont agrandir mon trou ? Quelque chose de bizarre pénètre mon anus ; ça a l’air plat. L’objet glisse à l’intérieur de mon boyau, puis rapidement je le sens s’écarter de plus en plus. On me détache la main droite, on me la guide jusqu’au niveau de mes fesses pour saisir une sorte de poignée à deux branches ; une main m’accompagne et me montre comment la serrer. Quand je serre, mon anneau ...
... s’écarte de plus en plus. — C’est toi qui va te le faire, on te laisse gérer. Enfin, si tu veux continuer. Je reconnais la voix de Tatiana. — Oui, je continue, je vais le faire. — Nous allons nous baigner ; ton chéri reste avec toi. Pat me détache mon autre main. Je regarde ce large bracelet de cuir noir avec son anneau et son mousqueton. J’ai une drôle d’impression : un sentiment de domination qui me fait peur et m’excite à la fois. — Dis-moi, les bracelets, vous les enlevez quand ? — Pourquoi ? Tu ne veux plus ? Tu veux arrêter le jeu ? — Non, non, c’est juste pour savoir, c’est tout. — Oh, tu vas les garder encore un bon moment je pense, et j’ai un petit cadeau pour toi. Je sens passer autour de mon cou un large collier qu’il ferme avec deux attaches. Je me sens encore plus soumise ; le sentiment de lui appartenir totalement est très fort. Je suis en train de vivre ce dont je rêvais : ne plus être maître de soi, obéir, ne rien dire, se soumettre à tous les caprices des uns et des autres. Jusqu’où vont-ils m’emmener ? Je voudrai le sucer. Je tends la main pour attraper sa bite raide ; elle est là, devant mon nez. Je salive. Je presse la poignée du spéculum qui m’écartèle l’anus à chaque coup de pompe. Pat vient de me prendre cette main trop pressée d’atteindre le membre tant convoité pour l’attacher à l’aide d’un mousqueton au collier. Je regrette d’avoir pris cette initiative inconsidérée. En contrepartie, il me masse les épaules, le dos, les fesses, l’entrejambe, les cuisses ...