Vacances, sexe et exhib. (9)
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... parole. Je stresse un peu, inquiète de savoir ce qu’ils vont maintenant imaginer. Mes poignet sont entravés, je ne peux plus les rapprocher. Mes pieds sont tirés vers le haut. J’entends le bruit d’un cliquet, et mon corps s’élève inexorablement. Je suis la tête en bas, les bras tendus attachés au sol. On me palpe la vulve inondée par mon jus ; quelque chose entre dans mon vagin. C’est rond, un gode ? Il s’enfonce en moi ; il est gros de plus en plus gros. Il tourne. Ils sont en train de me visser un gode en forme de spirale ; j’en ai vus sur un site : plus tu tournes, plus il grossit. Il ressort, maintenant. Ça va mieux, j’ai cru que j’allais exploser ; mon vagin doit être rempli de cyprine. « OUAÏÏÏE ! Mes tétons ! La vache… C’est quoi ? Des pinces ? » Des pinces avec des poids me tirent les seins vers le bas ! Ça fait mal, mais j’aime, c’est clair ; et en plus, je suis maso… Aïe ! Oh, putain ! Je viens de prendre une claque sur les deux fesses à la fois, puis une autre et encore une : moi qui avais froid, eh bien me voilà réchauffée ! Je me sens descendre. Les pinces enlevées, je regrette presque que ce soit déjà terminé : ce fut intense et bon. Me voilà à nouveau allongée. Deux mains me prennent les chevilles ; je reconnais les mains puissantes de Pat, et deux mains de femme m’agrippent les bras. On me soulève, me porte comme un cochon pendu. Je suis littéralement jetée et atterris sur un transat ; enfin, je crois, il a l’air grand. Je suis de nouveau attachée en croix ...
... par les bras et les jambes. Un liquide coule sur moi ; à l’odeur, c’est de l’huile de massage. Une main étale le liquide, puis une seconde, une autre, et encore une ; j’en compte six. Attachée je suis, obligée de subir, je savoure ce moment délicieux, cette douceur après cette violence que je désirais tant. Ce massage à six mains est extraordinaire ! On m’enlève le bâillon ; une langue le remplace. Je la connais : c’est celle de mon homme. Il m’embrasse avec fougue, nos langues jouent. Le bandeau glisse : enfin le jour ! Je ne peux pas bouger la tête non plus, il me la tient, me caresse les joues, les yeux et les sourcils. Il y a encore quatre mains et deux bouches qui m’explorent minutieusement. Chaque caresse, chaque coup de langue, chaque pincement m’emporte vers le plaisir décuplé sans doute à cause de ces liens. Une bouche aspire les lèvres de ma fleur, une autre lèche et pince mes tétons ; les mains parcourent mes cuisses, mon ventre, et Pat joue avec tendresse avec mon visage. À l’intérieur de moi est en train de se préparer une tornade. Je la sens venir ; elle va être d’une telle violence que je vais me tordre de plaisir. J’essaie de bouger, mais c’est impossible : les liens sont tendus au maximum, ils me tirent sur les bras et les jambes. Je voudrais que Pat entre en moi, je ne vais pas tenir encore longtemps. Je le supplie du regard mais il semble ne pas comprendre. Heureusement, des doigts pénètrent en moi ; j’en voudrais plus. Je n’ai pas longtemps à attendre ; ...