1. Vacances, sexe et exhib. (9)


    Datte: 19/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... objet rond entre dans mon vagin, s’enfonce ; un autre entre dans mon anus sans difficulté. Ils sont gros, de plus en plus gros. J’ai compris : ils veulent me défoncer m’ouvrir. Je serre les poings, anticipe la douleur. Elle ne vient pas : c’est une douce vibration puis une seconde qui m’envahissent. Elles sont de plus en plus fortes ; elles excitent mon point G, ce qui engendre la production d’une substance qui procure une sensation de bien-être puis va m’emporter vers l’orgasme. Sans prévenir, l’orgasme explose comme une bombe en moi. Je mords la boule, crie dans ce bâillon qui m’obstrue la bouche, je pleure de bonheur, crie de joie, gesticule comme une anguille. Je suis bien. Le calme est revenu. Ils me débouchent. À ce moment-là je sens un souffle d’air entrer en moi par mes deux trous béants. Les yeux fermés, je me régale de ce moment de sexe intense et je m’endors attachée, bâillonnée. Les rayons du soleil me caressent le dos. J’entends parler à côté de moi. Je n’ai plus de bracelets, de collier ni de bâillon. Je me redresse ; ils sont là, à boire l’apéro. — Bien dormi ? — Oui, merci, c’était génial ! Merci infiniment, c’était extraordinaire ! — Du moment que ça te fait plaisir, pour nous c’était excitant et très amusant ; j’aime bien jouer, surtout avec une poupée comme celle-là, me répond Élodie. pgnnot — Je peux piquer une tête ? — Va, on fait une pause. Il ne faut pas me le dire deux fois ! Je plonge. Les filles et Pat me rejoignent ; nous nageons et chahutons, les ...
    ... bisous sont aussi présents. Une fois bien rafraîchis, nous sortons. Sous la tonnelle, nous avons disposé des fauteuils et un canapé autour d’une table basse, le tout en faux rotin. Sur le plateau de verre de la table, l’apéro est servi : pour moi, un Pineau des Charentes blanc, c’est celui que je préfère, servi frais avec des glaçons ; les filles en ont pris aussi. Pour Pat, le Pastis ; et de Marseille, peuchère ! — Ma chérie, on fait une pause. Donne-nous tes impressions, qu’on sache si nous avons bien travaillé. — Je vous remercie pour le plaisir que vous m’avez donné ; j’en mouille encore, vous voyez ? je réponds en exhibant mon anatomie, cuisses grandes ouvertes sans aucun complexe. — Et tu veux aller encore plus loin dans la découverte ? me demande Élodie. — Oui, mais je ne sais pas quoi. — Ne t’inquiète pas : nous avons encore plein de choses à te faire découvrir, tu verras. — Super ! Quand ? — Ça… — Bon vous ne voulez pas me le dire, c’est ça ? Mais en tout cas, je peux vous affirmer que vous avez été géniaux. J’ai découvert des sensations nouvelles ; j’ai sincèrement tout adoré, et je crois que je vais devenir gourmande ou nymphomane. Je vais en faire une super histoire et la publier. Nous rions de bon cœur. Si elles ont des idées, moi aussi, ce qui me met en joie : le picotement en moi est la preuve de mon enthousiasme. Je trinque avec eux et leur raconte sans détours en sans pudeur mes sensations, mes envies ; je me lâche totalement. Les filles se sont aussi assises ...
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