J'en dois une à Marie-Jeanne (1)
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
Divers,
... faire mettre. Je pouvais plus voir ses beaux gros tetons, mais je voyais le trou de son petit cul puis la craque de sa plotte encore toute grande ouverte en-dessous. Je l’ai poignée par les cuisses puis je lui ai renfoncé ma queue assez vite puis assez profond qu’elle a lâché un cri. Là, je vous jure qu’elle riait plus, la câlisse ! Je la brassais comme une machine à boules, avec des grands coups de hanches dans le cul. Elle pouvait sentir ma queue la percer bord en bord puis mes gosses qui lui frottaient sur la touffe à chaque coup; puis elle venait mouillée comme une ostie de chienne en chaleur. xzrxqqts Elle se tenait après le divan avec une main, puis elle avait l’autre entre les deux jambes avec un doigt sur le capuchon. Elle devait jouir en tabarnac ! Moi, je la fourrais aussi vite que je pouvais, mais des fois sa plotte venait bien serrée puis j’étais obligé de lui tirer après les cuisses pour la lui mettre dedans jusqu’au fond. Tout à coup, je l’ai entendue qui miaulait : « Oh oui, Pat, prends-moi ! Baise-moi ! Oh, Pat, c’est bon, oui ! Baise-moi plus vite, Pat ! Ah, tu me fais jouir ! » La crisse de droguée : elle se rendait même plus compte de qui c’est qui était en train de la sauter. Je veux bien comprendre qu’elle pouvait plus me voir, parce qu’elle avait la face effoirée dans le divan; mais elle aurait quand même dû se rappeler de m’avoir vu il y avait pas cinq minutes... Avec tout ça, je savais toujours pas si Sophie c’était la blonde, la soeur ou la cousine ...
... à Pat le Maque. Elle me l’avait pas dit avant que je lui saute dessus, mais je lui avais pas demandé non plus. En fin de compte, je le saurai jamais, parce que c’est en plein là que je suis venu. Juste à penser que peut-être la fille aux grosses boules à genoux sur le divan en avant de moi était en train de s’imaginer que c’était son propre frère qui la fourrait, j’ai pas pu me retenir plus longtemps. Je vous l’ai remplie bien comme il faut, jusqu’à ce que ma queue arrête de cracher puis qu’il me reste plus rien dans les gosses; puis quand je suis ressorti, tout ça lui a coulé de la plotte puis a dégouliné le long de ses cuisses. Vous auriez dû voir le câlisse de dégât ! Parce que Suzie, elle, elle avait pas fini : elle continuait à se crosser avec son doigt en poussant des petits cris de jouissance. Ça fait que tout qu’est-c’est que je lui avais mis dans la plotte était en train de se répandre sur le beau divan en cuir à Pat le Maque. J’avais pas envie de rester pour torcher tout ça, puis je me suis dit que Pat le Maque allait être en beau calvaire s’il revenait puis qu’il voyait sa blonde (ou sa soeur, ou sa cousine) à genoux sur son divan dans une flaque de baise. Ça fait que j’ai remonté mes culottes, je me suis remis mon linge sur le dos, puis j’ai sacré mon camp. En descendant les escaliers, j’ai rencontré Pat le Maque qui revenait. — Excuse-moi, qu’il me dit, il y avait un accident sur la promenade Belvédère. — C’est correct, que je lui réponds. Ça arrive, des petits ...