1. L'hôtel de tante Clarisse


    Datte: 21/03/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, jeunes, frousses, inconnu, oncletante, gros(ses), grosseins, groscul, hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init,

    Après mon service militaire, je suis allé m’installer en Charente, dans une petite localité du bord de mer. Clarisse, la sœur aînée de ma mère, avait perdu son mari l’année passée et avait besoin d’un homme pour l’aider à tenir une petite pension de famille. Véritable cancre à l’école, j’étais voué au chômdu. Aussi, quand sa sœur évoqua cette possibilité, ma mère sauta sur l’occasion pour essayer de me caser. « Me caser », elle ne croyait pas si bien dire, sauf qu’elle n’imaginait probablement pas, ce jour-là, son fils dans les bras d’une femme de plus de soixante ans, qui plus est sa grande sœur, celle qui l’avait élevée. Clarisse était une grande femme rousse aux formes paysannes plus que généreuses, une croupe large et haute, une poitrine lourde et pleine. Encore « jeune » pour son âge ! Je ne l’avais pour ainsi dire jamais rencontrée. Entraperçue une fois au mariage d’un vague cousin mais je n’en gardais vraiment aucun souvenir. Je me souvenais beaucoup plus de mon oncle, un gros moustachu bedonnant, bon vivant et alcoolique invétéré. Le pastis avait eu raison de lui et l’avait emporté dans sa cinquante-huitième année. Aussi, quand elle vint me chercher à la gare, je fus agréablement surpris, moi qui m’attendais plutôt à une vieille femme revêche, je trouvai au contraire une belle femme souriante aux rondeurs joyeuses. Elle me gratifia d’un clin d’œil complice, elle était pétillante et enjouée. Dans la voiture qui nous ramenait à l’hôtel je ne pus m’empêcher de ...
    ... détailler ses formes. 61 ans, 37 de plus que moi ! Mais elle en paraissait largement dix de moins et ne semblait pas le moins du monde gênée par ses rondeurs, vraiment sans complexe. De là à dire que j’eus tout de suite envie d’elle, je n’irai pas jusque-là. C’était quand même ma tante et deux générations nous séparaient… D’autant plus que deux jours après mon arrivée, je m’entichais déjà d’une petite femme de ménage, petit cul, petite frimousse, le genre qui ondule bien des fesses quand elle passe devant vous et, quand vous le lui faites remarquer, elle a le toupet de vous répondre que vous avez les idées mal placées. Idées ou pas, elle se laissa facilement entraîner dans la lingerie et culbuter sur un tas de linge. L’envie fit le reste, elle avait du répondant, un sacré coup de reins et une grande expérience des coups de bite. Seul petit hic, elle était maquée et son Jules n’était pas du genre à apprécier la concurrence. En conclusion, un petit coup vite fait entre deux services : OUI. Mais une nuit d’amour : NON. Toujours est-il que cette idylle dura plus d’un mois et presque tous les jours, elle avait le sang chaud, la garce ! Le sang, la bouche, la chatte, le cul, tout était chaud et rien n’y échappait. Mais toujours avec capote, sa façon à elle de ne pas tromper son mari. Sauf qu’un jour nous fûmes surpris par la grand tante. J’étais en train de l’enculer dans une petite salle de bain. Penchée contre le lavabo, elle tendait bien à fond ses fesses pour que je la sodomise, une ...
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