1. L'hôtel de tante Clarisse


    Datte: 21/03/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, jeunes, frousses, inconnu, oncletante, gros(ses), grosseins, groscul, hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init,

    ... dire « Rejoins-moi salope » me fit serrer les poings Ma tante lui répondit avec un petit sourire. Lorsque l’ascenseur s’arrêta, le vieux fut bien obligé de sortir mais, contre toute attente, alors que je pensais que nous allions être enfin seuls avec Clarisse, ma tante lui emboîta le pas. Et, me prenant le bras, elle m’entraîna avec elle jusqu’à la chambre 213 : — Celui qui me baise le mieux aura droit à une surprise, annonça-t-elle joyeusement en pénétrant dans la petite pièce. Nous étions à peine entrés et nous nous regardions en chien de faïence avec le vieux, en nous demandant si c’était du lard ou du cochon. Mais ma tante prit les devant, s’approcha de nous et nous mit directement la main au paquet. — Et si vous me montriez la marchandise ? Ca a l’air bien ferme tout ça ! Le vieux fut le premier à se défringuer. Il avait un sacré engin, noueux et poilu à souhait. À côté de lui, je faisais figure de petit modèle. Je faillis même déclarer forfait, surtout lorsque ma tante s’agenouilla devant lui et emboucha fermement son zob. Elle eut de la peine à l’avaler, c’était vraiment un gros modèle ou elle avait une trop petite bouche. J’étais blême, ce type c’était un véritable étalon. Il lui prit fermement la tête et lui baisa la bouche, elle faillit s’étrangler. Elle continua à le sucer encore un long moment, puis, délaissant notre homme, elle se tourna vers moi pour me dégrafer. Je bandais mou, le type souriait, il se foutait de ma gueule. J’eus besoin de tout le savoir faire ...
    ... de tantine pour me raviver. Visiblement elle avait l’habitude de sucer des bites, un sacré savoir-faire. Ensuite, elle se retourna à nouveau vers l’autre homme qui avait profité de cette accalmie pour enfiler un préservatif. Il essaya de la caresser, de la peloter mais elle le repoussa avec fermeté : — Non, je suis prête, baise-moi tout de suite, baise-moi à fond… Et elle se mit en position, à quatre pattes sur le lit. Ce type était un sacré baiseur. Il usinait ma tante depuis plus d’un quart d’heure et elle semblait gémir de plaisir en se mordant les lèvres. Les ressorts grinçaient atrocement sous ces grands coups de bite. Face à ce taureau, je n’avais aucune chance. Mais, contre toute attente, elle se retira d’un coup, démasquant un préservatif plein de semence. Le vieux venait de cracher sa sève. — À ton tour, Fabien ! Elle m’aida à enfiler la capote et me présenta son cul. Mon rival, sûr de lui, était affalé dans le fauteuil et se fumait une cigarette. Ma tante était sacrément large. Toujours à quatre pattes sur le lit. Mon sexe flottait dans sa chatte juteuse. Finalement ce n’était pas plus mal car, d’ordinaire, j’ai une fâcheuse tendance aux éjaculations précoces. Tandis que là, je pus bien prendre mon temps, m’agripper à ses fesses et la limer consciencieusement. Pourtant c’est certain, cela dura moins longtemps que mon rival. Clarisse se dégagea enfin après que j’eusse juté dans le préservatif. — Alors ? s’enquit bientôt le client de l’hôtel. C’est qui le gagnant ?— Je ...
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