1. L'hôtel de tante Clarisse


    Datte: 21/03/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, jeunes, frousses, inconnu, oncletante, gros(ses), grosseins, groscul, hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init,

    ... étaient en train de me donner une sacrée trique. Collée à moi, elle remarqua de suite mon état et je sentis son entrecuisse se frotter sur ma bosse tandis qu’elle continuait à mon oreille : — Humm cochon, je t’excite. J’ai envie que tu me la mettes, ta vieille tante a très envie de se faire tringler. Cela résonnait si fort dans mon oreille que j’avais l’impression que toute la salle était désormais au courant. Situation rocambolesque, nous étions entourés non seulement de clients, mais aussi de deux serveurs qui travaillaient avec nous et qui n’allaient manquer de s’apercevoir de l’état de leur patronne. Ça allait jaser dans les couloirs ! La patronne qui s’envoie le petit neveu. Par chance, pour le moment, ils étaient occupés à l’autre bout de la pièce. J’essayai tant bien que mal de calmer les ardeurs de Clarisse, de la rendre plus « raisonnable ». Pour cela une seule solution, lui promettre d’exaucer tous ses désirs. Je lui dis à l’oreille : — Patiente encore un peu, tantine, je te promets une longue nuit de baise comme tu n’en as jamais vécue. J’ai envie de tes grosses miches, j’ai envie de ta chatte, tu m’excites vachement, tu me fais bander comme un taureau.— Humm, humm, gémit-elle encore à mon oreille, langoureusement chatte.— Encore une petite demi-heure et dès que nous pouvons nous éclipser… Je profitai de l’arrêt de la musique pour me détacher d’elle. Du coup, elle s’assagit un peu, elle retourna plaisanter auprès des clients. Certes elle riait fort et grassement ...
    ... mais elle faisait bonne figure. Et puis je me suis arrangé pour qu’elle cesse de boire, en tout cas de l’alcool. Après tout, pour tenir toute une nuit, mieux valait avoir toute sa lucidité. Elle reprit peu à peu tout son aplomb et, une heure et demie plus tard, nous étions toujours là. Il était minuit passé et la plupart des clients avaient déserté, seuls une dizaine d’indécollables refusaient de s’en aller. — Messieurs-dames, je ne m’ennuie pas avec vous, mais j’ai un hôtel à gérer, finit-elle par clamer, et je dois me lever tôt. Mais je vous invite à rester, je vous laisse avec Bertrand, le bar reste ouvert jusqu’à plus soif ! Alors que je m’apprêtais à lui emboîter le pas, j’eus la désagréable surprise de m’apercevoir qu’un vieux célibataire grisonnant refusait de la lâcher. Il la collait et s’apprêtait même à la suivre dans les étages. Sans doute l’avait-il trouvé chaude et excitante tout au cours de cette soirée. Cela faisait presque un quart d’heure qu’il rôdait autour d’elle et lorsque je le vis lui prendre le bras et la guider vers l’ascenseur, mon sang ne fit qu’un tour. Je rejoignis le couple au moment où la porte se refermait et m’engouffrai dans l’ascenseur au grand désarroi de mon rival qui pensait probablement profiter de ce moment de solitude pour peloter tantine. — Vous allez à quel étage, Monsieur ? intervins-je sèchement.— Au deuxième, se crut-il obligé de répondre. Chambre 213, ajouta-il avec fermeté en regardant ma tante droit dans les yeux. Cette façon de ...
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