1. L'hôtel de tante Clarisse


    Datte: 21/03/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, jeunes, frousses, inconnu, oncletante, gros(ses), grosseins, groscul, hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init,

    ... autre façon à elle de « moins » tromper son mari. De toute façons, il la prenait rarement par là, elle aimait pourtant ça. Et, tout en lui bourrant l’anus, je matais ses seins qui ballottaient sans complexe dans la glace… Elle avait l’air d’apprécier ce pilonnage à sa juste valeur, à chaque coup de bite un petit gémissement. — HUMM, HUMM… Qui j’entendis derrière moi ? Ni Juliette, ni moi-même ne l’avions entendue rentrer. Nous sommes restés comme deux ronds de frites devant le regard impassible de la patronne. Ma queue profondément emmanchée dans le cul de la bonne. Clarisse a simplement ajouté : — Si vous pouviez vous dépêcher ! Puis elle a tourné les talons avant de s’en aller. Après cet épisode, je n’en menais pas large. Déjà que je m’étais fait plusieurs fois houspiller parce que ma tante trouvait que je feignassais… Juliette, quant à elle, ne voulait plus entendre parler de moi. Finies les parties de jambes en l’air dans les petits coins, elle ne voulait pas perdre son boulot. Ceci dit, Clarisse n’évoqua jamais ce qui s’était passé ce jour-là. Elle joua l’indifférente, j’étais dans mes petits souliers. Jusqu’au soir… Nous avions organisé une petite fête avec les pensionnaires de l’établissement, histoire de faire un peu d’animation, un bon repas bien arrosé sous la tonnelle, des chants, des danses, de la bonne humeur. J’ai tout de suite remarqué que ma tante n’était pas tout à fait dans son état normal, elle riait fort, elle chantait fort, elle se laissa même entraîner ...
    ... plusieurs fois par des pensionnaires sur la piste de danse. Ce soir-là, elle avait envie de s’amuser. Moi, de mon côté je m’étais trouvé deux jeunes Allemandes blondes comme les blés, fort sympathiques. Pas un mot de français mais elles riaient, elles riaient, moi je faisais le pitre. J’en étais à me demander laquelle des deux finirait dans mon lit ? Ingrid ? Greta ? Ingrid et Greta ? Pourquoi pas, elles n’étaient pas farouches, les Teutonnes. J’étais en train de danser avec l’une des deux. Etait-ce Ingrid ? Etait-ce Greta ? Quand nous fûmes interrompus par ma tante Clarisse, je dois dire un peu pétée : — Mon neveu daignera-t-il m’accorder cette danse, dit-elle avec emphase. Puis elle explosa de rire. Ma compagne comprit à son attitude qu’il valait mieux qu’elle s’efface. « Et merde, tantine, tu es en train de me casser mon coup. » Sur ce Clarisse m’empoigna, fermement, solidement et m’entraîna sans mot dire au milieu des danseurs, m’étouffant presque, en écrasant ses seins lourds contre ma poitrine. Et là, tout en essayant d’échapper à ses pieds, qui avaient une fâcheuse tendance à écraser les miens, je la sentis se pencher à mon oreille et je crus entendre ces propos décousus, complètement hallucinants. — Ce soir, ta vieille tante a envie de se faire baiser, elle a envie que TU la baises, elle a envie de TA grosse bite, elle a la chatte en feu… Rêve ou réalité ? Je n’en croyais pas mes oreilles ! Mais ses grosses miches étaient, elles, bien réelles et ses envies de luxure ...
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