1. L'hôtel de tante Clarisse


    Datte: 21/03/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, jeunes, frousses, inconnu, oncletante, gros(ses), grosseins, groscul, hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo, init,

    ... suis désolée, répondit Clarisse, vous êtes un très bon baiseur mais Fabien m’a fait jouir deux fois.— Vraiment ? (Il paraissait perplexe)— Vraiment. Et il gagne le droit d’abuser de moi de toutes les façons… Il semblait déçu mais elle ne lui laissa pas le temps de protester. Clarisse s’était relevée et m’entraînait déjà vers la porte. Le type, mauvais perdant, la gratifia d’un « Sale pute » et d’un « Vieille salope » des plus méprisants, mais nous étions déjà dans le couloir et bientôt dans l’ascenseur, direction l’appartement de ma tante, au troisième. — J’ai vraiment gagné, tantine ?— Pour le moment, aucun de vous deux ne m’a vraiment fait jouir… Mais je pense que tu es celui qui as le plus de chances d’y arriver, me confessa-t-elle en dégrafant une nouvelle fois sa jupe. Elle avait laissé sa culotte chambre 213… Elle avait un sacré fessier. Je me suis agenouillé derrière elle pour lui lécher les fesses. Ma langue sur sa rosette, ma langue dans son petit trou, elle avait l’air d’apprécier. Elle sentait fort du cul. Mais elle n’a pas voulu continuer, elle s’est relevée et est allée s’allonger sur le lit, les cuisses largement écartées. J’ai tout de suite compris qu’elle désirait se faire bouffer. J’ai plongé vers son buisson, une forte odeur de pisse, ça m’a passablement excité, je me suis mis à la brouter, à l’aspirer, à la laper. Clarisse écartait ses cuisses charnues, pour me présenter un sexe large, odorant, couvert d’une toison bien fournie, dégoulinante de mouille. Je ...
    ... lui léchais les grandes lèvres, lui aspirant le clitoris érigé, durci, elle devenait de plus en plus chaude, elle avança son bassin plus contre moi, je lui enfonçais la langue plus loin dans la chatte, lui broutant le minou, elle mouillait, elle gémissait, elle ondulait de la chatte, elle soupirait. Elle me tenait la tête, elle m’attirait à elle, j’essayais d’enfoncer ma langue au plus profond de son con. J’ai astiqué son clitoris, elle s’est mise à soupirer, plus fort, de plus en plus fort, elle haletait… Elle contractait les muscles de sa chatte baveuse, ma langue allait et venait en elle, je sentais ma bite durcir, gonfler, palpiter, j’avais très envie de la pénétrer, de la baiser bestialement, de la faire crier. Je sentis qu’elle jouissait quand elle m’aspergea le visage de sa cyprine abondante, elle encercla mon visage entre ses jambes et cria : — OUI, JE JOUIS ! Ta tantine jouit comme une grosse vache, c’est bon ta langue, tu lèches comme un dieu, tu me rends folle, je mouille, c’est trop bon. Elle s’est remise à couiner en se tortillant dans tous les sens. « ENCORE, ENCORE » qu’elle criait. J’ai continué à la bouffer. Elle a joui plusieurs fois de suite, cette fois sans aucune doute, mais elle en voulait encore, elle m’a inondé d’un nouveau jet cyprine qui a mouillé abondamment le dessus de lit… Un peu plus tard, elle a fini par reprendre ses esprits. J’avais profité de sa semi-inconscience pour dégrafer son soutif et lui téter les pis. Perdue dans la jouissance, elle ...
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