1. Entre fièvre du samedi soir et démons de minuit (1)


    Datte: 28/03/2019, Catégories: Divers,

    ... chemin, longeant la crête de mes grandes lèvres, tournoyant autour de mon anus, sans jamais plonger dans mes profondeurs. Mes hanches se balancent de plus en plus, faisant déborder l’eau de la baignoire. Je ne tiendrai plus longtemps. Le besoin de jouir devient intenable, mon clitoris pulse comme s’il était animé de son propre cœur, avide d’attentions et de délivrance. Je cède enfin, plaque le bout de trois doigts dessus, fais quelques petits cercles et tout mon corps se tend. Mon souffle se bloque, comme si mes poumons voulaient me laisser pleinement apprécier la montée de mon plaisir... Je jouis... Je bascule la tête en arrière, ferme les yeux et mes muscles se relâchent. « Alors, on se caresse la chatte ?! Amis de la délicatesse et de la poésie, voici mon mari ! - Il faut bien que je m’en occupe toute seule vu que tu ne me donnes même pas un coup de main. » A peine le temps de dire ouf que me voilà arrachée à ma baignoire adorée, plaquée contre le sèche-serviette et prise par mon homme bien décidé à me montrer de quoi il est capable. « Bon, t’es bien gentille, mais à la base je suis monté prendre une douche et me préparer. » Flottant sur mon nuage post orgasmique, je m’enroule dans une serviette, m’assied sur le banc dans la salle de bain et profite du spectacle qu’il n’a même pas conscience de m’offrir. Bruno a 31 ans, comme moi, mesure 1,77 m et pèse 68 kg. Il est d’un tempérament assez nerveux, toujours en mouvement et très sportif ce qui lui donne une silhouette assez ...
    ... fine mais toute en muscles. Je me régale de voir son torse glabre ainsi que ses abdos bien dessinés, me retiens de me rapprocher pour arracher la serviette qui le sèche et frotter moi-même son dos et ses fesses bombées. J’essaie de raisonner l’insatiable qui est en moi car pour être à l’heure chez les amis qui nous ont invités en ce soir de réveillon, il faudrait penser à enfiler des vêtements. Mon homme le sait et commence à passer son boxer - tiens je l’aime bien celui-là - sa chemise blanche et son pantalon bordeaux. Plus il s’habille, plus je sens mon corps s’échauffer comme s’il m’offrait un effeuillage digne d’un gogo dancer. Ça doit être un effet de la fièvre, il faut que je calme mes hormones en ébullition. Mais voilà qu’il boutonne sa chemise et passe un noeud papillon bleu foncé et bordeaux autour du cou. « Tu peux m’aider à l’attacher s’il te plaît ? — Mais bien sûr mon amour. » Mes mots et mon regard lorsque je m’approche me trahissent. Je ne suis pas vraiment du genre mielleuse et Bruno se rend maintenant compte de l’état dans lequel je suis. Il penche la tête et me lance avec un sourire, tout fier de lui : « Ça ne t’a pas suffi ce que je t’ai mis toute à l’heure ? » Pour moi, rien de choquant dans ses termes, je suis la première à les dire. Mais je ne réponds rien. Je me colle nue contre lui et ferme l’attache du nœud papillon avant d’oublier. Puis je lui mordille la mâchoire, me dresse sur la pointe des pieds et passe la langue sur le lobe de son oreille. « Tu ...
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