Un week-end torride. Dimanche
Datte: 20/08/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
amour,
volupté,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
ecriv_c,
... peux plus… Clara est une braise qu’il faut éteindre ! Brusquement, en grognant, d’un coup de rein elle se met sur le dos, écarte grand les cuisses, relève ses genoux et ses mains fourragent sous sa culotte. Alors elle m’attrape par les cheveux, m’attire à elle, sa bouche m’embrasse goulûment, et d’une main elle m’invite à la prendre. — Ah ! viens vite ! je… Mais trop tard ! Elle jouit toute seule en se recroquevillant sur elle-même, les mains au ventre, en lâchant un grand râle rauque, puis des soupirs. À genoux contre elle, ses mains m’empoignent me finissant dans ses doigts. Je m’oublie alors sur elle, inondant sa poitrine, ses bras, ses cheveux. En croix, sur le dos, essoufflée, encore frémissante, Clara récupère… Elle s’est essuyée et étalé le fruit de mon plaisir. Ainsi, dans sa lingerie chiffonnée, défaite et tâchée, elle offre un tableau que je ne suis pas près d’oublier ! Elle me caresse le visage, passe un doigt sur mes lèvres. — On est fous hein ?! On ne voulait pas. Et puis… mais terrible ce jeu ! souffle-t-elle, je ne me souviens pas avoir été aussi excitée ! Je suis crevée !— Oui, nous sommes fous… dis-je songeur, en pensant à Laure. Clara doit le comprendre et se serre contre moi. — Ne t’inquiète pas, chuchote-t-elle, tu me rends heureuse. C’est déjà beaucoup, je te laisserai l’aimer, je ne demande rien, rien, ne t’inquiète pas… Un silence. Nous sommes bien tous les deux, mêlant nos respirations apaisées. — Tu m’acceptes pour la nuit ? Je n’ai pas envie de ...
... rentrer, lui demandé-je doucement. Elle rit, sans bouger. — Si tu n’as pas peur qu’au réveil on joue la deuxième mi-temps, oui…— Tu veux ta revanche ? Hein ? Comme tu as perdu la première…— Normal, j’ai perdu parce que tu as triché, coquin !— Quoi ? Avec tes trucs transparents, la dentelle ! Je ne suis pas un moine !— Et tes mains, tes doigts… je ne suis pas une sainte !— Ça, j’avais remarqué ! conclus-je, hilare Elle rit à nouveau et ajoute : — Allez, oui, reste ! Mais à tes risques et périls ! o-o Le lendemain, au petit déjeuner, elle semble préoccupée. Elle m’annonce alors qu’elle part pour un mois, au moins, avec son futur mari, l’accompagner dans ses voyages d’affaires et pour continuer de la présenter ici et là à sa famille. — Je ne voulais pas en parler. J’attendais que Laure soit partie.— C’est plutôt bien comme programme ! lui dis-je, en tentant de positiver.— Oh ! oui… mais te laisser, laisser Laure ! J’ai du mal. Un tournant dans ma vie. Tu comprends pourquoi, depuis quelques jours, je suis morose ? Elle sourit, prend ma main. — Et je perds, provisoirement j’espère, un amant… murmure-t-elle en essuyant une larme. Je la rassure, lui dis qu’à son retour on fera une fête, que peut-être Laure sera là, qu’après tout son futur aura fait des progrès… Plus détendue elle s’exclame : — Oui ! On s’éclatera ! Tu as raison. Pour le fiancé je vais mettre les bouchées doubles, je te jure qu’il va se décoincer ! L’amour à la papa, ça va bien un peu ! Elle marque une pause, me jette un ...