1. Henriette


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, hh, fhh, 2couples, fplusag, jeunes, extraoffre, inconnu, voisins, photofilm, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, init,

    ... mère qui me courtisait. Je lui faisais croire que l’amie de mes 17 ans m’avait relancé, jusqu’au jour où il découvrit des photos de sa mère nue. Il me les montra, me demandant ce que j’en pensais. Je rougis, bafouillai, m’emmêlai tellement dans mes explications qu’il redouta quelque chose de louche. Il sortit ensuite les clichés de Margot avec un homme, en poses lascives et suggestives. C’est elle qui me l’avait amené un jour, me demandant de les photographier faisant l’amour. Il traita sa mère de traînée, de pute et d’autres noms aussi peu reluisants. Je m’offusquai et dans un élan de colère lui avouai ma liaison avec Margot. Il en resta silencieux pendant plusieurs minutes puis me dit: — …Et les photos, c’est toi ?… Je l’avouai, il se leva, partit sans un regard, triste de ma trahison. Il s’éloigna, alla travailler ailleurs. Je ne le revis plus. Margot se détacha lentement de moi, son plan avait marché, la liaison homosexuelle avec son fils était totalement cassée. Une observation un peu plus soutenue des photos de Margot me font apparaître une ressemblance avec Roberta, ma muse d’aujourd’hui. Enfin, quand je dis "ma" muse, pour l’instant elle m’amuse, me mène en bateau, me piège et se moque gentiment de moi. C’est au niveau du regard, du port de tête, peut-être aussi de l’intelligence et de la lucidité qui y transparaissent que je distingue des analogies. Leurs corps sont de même allure, solides, pleins, avec une taille fine et des hanches nettement plus larges, la grâce ...
    ... du violoncelle vu de dos (on ne compare jamais une femme à violoncelle vu de face, sauf quand elle grince !). Je souris à moi-même. Plongé dans mes réflexions je n’entends pas tout de suite le gong de la porte d’entrée. Au troisième coup de sonnette peut-être je me déplace et entrouvre le battant, cachant ma nudité. Je découvre Henriette, ma voisine de palier, nue, elle aussi, frissonnante, les yeux hagards, l’air franchement piteuse. — Je peux entrer ? Et elle entre…et découvre que je suis à poil. — Excuse-moi…, dit-elle en mettant sa main devant les yeux.— Il n’y a pas de quoi fouetter un chat, on a déjà baisé ensemble, allons au salon.— Que se passe-t-il, lui demandé-je. Observant les photos étalées en face de ma nudité, elle se méprend sur mes intentions, et bafouille encore des excuses. — Je te dérange, tu étais en plein travail sur toi-même, me dit-elle avec humour. Reprenant son air hagard, elle confesse que son mari la bat, la martyrise et l’humilie sans cesse. Qu’il vient de lui envoyer deux gifles, l’a projetée brutalement hors de l’appartement, nue sur le palier. Elle n’en peut plus, les larmes pointent, mon épaule secourable l’accueille. Je ne supporte pas les pleurs. J’ai beaucoup de difficultés à les gérer. En plus, ces problèmes de brutalités conjugales, franchement, ça me "gonfle", c’est bon pour les médias… Face à des problèmes difficiles, j’ai tendance à jouer un peu à l’autruche. Je dis, essayant de paraître courageux : — Tu peux rester chez moi, Henriette, ...
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