Henriette
Datte: 30/03/2019,
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... repose-toi, on avisera après ! Et j’ajoute, chevaleresque : — Je te défendrai de Jean-Marcel ! Elle s’installe, dort, mange, boit, regarde la télé, les vidéos, fouille dans mes armoires, mes cartons, utilise ma brosse à dents, mon linge. Pas envahissante pour quatre sous, la dame. Mais il y a une compensation, elle reste nue, candide face à mes mains, facile à prendre. Chaque fois prête à faire la culbute sur le tapis ou dans un lit. Bonne baiseuse, à disposition pour tout service sexuel, presque le rêve. Nous observons longuement les photographies qu’elle ressort patiemment de mes cartons. Chaque modèle a son histoire, je lui parle de l’influence qu’il a eu sur moi, ce qu’il m’a apporté. Elle me demande chaque fois si la baise était bonne, ce que j’y ai trouvé. Cette introspection me plaît, ravivant des souvenirs, tranches de vie, expériences, ajoutant de la profondeur à l’existence…Je vais faire des courses, nous ramène à manger, lui achète un parfum, lui procure des magazines, elle apprécie « Play-Boy ». Deux jours après, Jean-Marcel, sonne chez moi : — As-tu vu ma femme ? Il avait cherché partout, dans la famille, chez leurs amis, dans des hôtels du quartier, prêt à appeler la police. Je lui dis qu’elle n’est pas encore en état de rentrer au bercail. Un peu de patience, de douceur et le problème sera résolu. Je ne lui parle pas de violence, ni de brutalités, il m’en sait gré et rentre chez lui, penaud. Roberta vient d’arriver, c’est la première fois qu’elle vient ...
... chez moi, je pensais même qu’elle ne savait pas où j’habitais. Elle se languit de moi, dit-elle. Son regard inquisiteur cherche, son nez perçoit des phéromones étrangères, ses yeux sont aux aguets, quelque chose de particulier se trame ici. Elle ouvre lentement plusieurs portes de l’appartement et trouve Henriette dans la chambre à coucher, souriante, qui lui lance : — Salut, tu es Roberta, j’ai vu des photos de toi, tu es magnifique… Henriette se peint les ongles des pieds en vert, naturellement nue, le sexe ouvert en direction de la porte, nullement gênée de la venue de cette étrangère. J’explique à Roberta la raison de sa présence, m’attends à quelques reproches. La réaction me surprend. Roberta entre dans la chambre, s’assied au côté de ma voisine, lui caresse les cheveux, très doucement, comme pour une enfant, la regarde intensément, avec compassion. Elle lui frotte lentement le dos, les fesses, lui malaxe les épaules, pelote les seins, lisse le ventre et dit : — N’aie pas peur, nous allons te sortir de là…! Commence alors une éducation hallucinante ! Roberta explique que la violence provient, en général, d’une attitude intérieure, d’un manque d’estime de soi, que les deux personnes du couple sont impliquées dans cet engrenage qu’est la violence. Elle demande à Henriette de jouer l’arrivée de son mari, d’essayer d’imaginer la scène, de décrire comment elle sert Jean-Marcel à table, comment elle l’aborde pour faire l’amour. Toutes les tranches de vie de Henriette sont ...