Dame Erika (11)
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... main… Un peu plus, vous auriez eu du claret à la liqueur d’hommes à nous offrir ! — Chiche ! Je ne leur laisse pas le temps de réagir ; à l’aide du bord de la coupe, je récupère le précieux nectar sur moi et Tom, puis je touille le mélange avec mon sexe. — Pat, tu fais quoi, là ? Je tends la coupe aux filles en annonçant : — Ces dames sont servies ! octosslg Sara me regarde, surprise, mais prend la coupe et goûte le breuvage. Un « Humm… » de satisfaction, un léchage gourmand de ses lèvres et un regard coquin plus tard, elle passe la coupe aux filles avec insistance. — Je ne vais pas boire ça : t’es un grand malade ! rouspète Élise. — Elle a aimé ? Peut-être qu’elle croit que c’est un rite, chez nous ; alors vas-y, sinon elle sera déçue. Après un haussement d’épaules et un regard, elle boit une gorgée (plus tard, elle m’avouera quelle a fait semblant), exprime sa satisfaction comme Sara vient de le faire, puis passe la coupe à Tania, qui elle semble aussi apprécier. « Oh, putain, j’espère qu’elles ont tout vidé et que… » — Allez, les gars, il en reste ! Oh, putain, les salopes ! On n’est pas dans la merde ! Bon, bah… La porte de la chambre s’ouvre. Ouf ! Je ne sais pas qui c’est, mais celui-là, on peut dire qu’il tombe à pic ! Dame Erika et son chevalier de mari entrent, l’air radieux, ils nous découvrent tous nus comme des vers, le verre à la main. Vite, je repose le mien. Dame Erika nous interpelle : — Eh bien dites donc, vous avez une sacré forme ! Vous mangez quoi, chez ...
... vous, pour tenir un tel rythme ? Ne me dites pas que vous avez remis ça… Et avec Sara, en plus ! — Dame Erika, c’est nous, tenté-je de me justifier. — Oui, Dame Erika, c’est nous. Elle… elle était triste de nous avoir vus faire le spectacle et de ne rien avoir eu ; il faut la comprendre, Dame Erika. Et puis elle n’a pas de petit ami (quelle menteuse je suis : je n’en sais rien, mais bon), et avec nous tout nus… On lui a fait comme vous pour la consoler ; ne la châtiez pas… reprend Élise avec des arguments irréfutables. Dame Erika coupe court : Élise a bien failli faire la gaffe du siècle ; heureusement que son mari était trop occupé à nous regarder. Enfin, surtout les filles… — Bon, admettons. Et… elle a aimé ? Pas de petit ami ? Mais elle n’a pas à en avoir ! Voilà quatre ans qu’elles sont à mon service. Mon père les a sauvées de la misère ; elles avaient seize ans. Elle et Ode doivent s’occuper de moi, en échange ; c’est comme ça ! Dame Erika est visiblement quelque peu contrariée. Sara tente de se justifier : — Oh, Dame Erika, je n’ai jamais eu un tel plaisir… C’est la première fois que je fais cela ; et, vous le savez, ils sont très gentils ces gens là : ils savent bien s’occuper des femmes. Je vais vous laisser. Sara, heureuse, vient nous embrasser tous. Nous l’encerclons ; chacun amplifie le baiser pendant que les autres la caressent : quatre paires de mains, quatre bouches s’occupent d’elle. Encore une fois elle est caressée sur tout le corps, mais partout à la fois. Les ...