LULU 4
Datte: 01/04/2019,
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Dans la zone rouge,
... demande, je faisais face au mur, y appuyais mes deux mains, tendais ma croupe. Il relevait jupe ou robe, tirait ma culotte sur une fesse, dégageait l’entrée de la salle des fêtes, me mettait un ou deux doigts mouillés de ma salive dans la moule, les agitait pour me faire mouiller, puis se présentait queue raide et me défonçait allègrement la vulve et me saccageait « ton con de salope », comme il disait, sûr que mon silence précédent garantissait le secret sur ses agissements nouveaux Mes mains moites laissaient sur le papier peint des empreintes à côté d’autres plus anciennes : j’étais entrée dans le système. Mal m’en prit de vouloir me protéger en portant un pantalon. Pour m’apprendre à faciliter l’accès à ma chatière, il m’imposa une pipe encore plus violente, ne libéra ma tête que lorsqu’il craignit l’asphyxie et dut me ranimer avec des baffes. Le lendemain matin, je mis une épaisse couche de fard pour cacher les traces de doigts sur mes joues. Une fois de plus, tu n’avais rien remarqué et je me suis demandé si j’étais transparente à tes yeux. - J’étais heureux de vivre avec une femme aussi jolie, je nageais dans le bonheur, à mille lieues des problèmes dont tu ne disais mot. J’avais une confiance absolue en toi, ...
... pourquoi me serais-je inquiété ? - Mon sort était prévu par Richard. Ben m’avait fait tomber, je n’osais pas résister, je devenais son esclave sexuelle. Mais après les coups et les marques dans la figure, je décidais de me plaindre à ma patronne. Elle convoqua le patron, menaça de mettre fin à la collaboration du salon avec son établissement. Il jura, bien entendu, tout ignorer des agissements du gardien du temple, jura également d’y mettre le holà et s’engagea à assurer lui-même mon transport. La semaine suivante, Ginette me remplaça parce que tu étais du matin. Elle subit à son tour les entreprises de Ben, ne s’en plaignit pas, au contraire. Richard en profita pour nous mettre en concurrence. Dès la reprise, sur ta tournée de nuit, il me mit le marché en main. Il voulait bien continuer à recourir à mes services à condition que je m’entraîne à devenir coco girl. Sinon, il offrirait la place à Ginette. Considérant l’avantage financier que j’en retirais, ayant payé ma place par ma soumission aux débordements sexuels de Ben, mais désormais protégée par Richard, tentée par la scène et par le supplément de cachet promis, j’acceptai, à condition que tu ne sois pas mis au courant. Je tenais à le faire moi-même, le moment venu.