1. Clichés du fétichiste


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour,

    ... et d'avoir droit à de l'enjouement. D'autres collègues mâlesavaient su mériter un tel privilège. Ce qui me mortifiait. Je n'avaisdroit qu'à des sujets arides où elle tachait souvent de m'humilier. Ellen'avait de cesse de pointer les à peu près de mes rapports et mes fautesd'orthographe. Rongeant mon frein, je ravalais rage et dépit mecontentant de regarder fasciné le lent battement de sa jambe et d'unescarpin fébrile au bout du pied.De cette façon elle était assurée de m'amener à une forme d'hypnose. Eneffet je n'entendais plus ses critiques et ses propos blessants tropoccupé au ballet lancinant de la jambe et du pied. Ceux-ci s'étaient ducoup rapprochés. Ils s'étaient invités dans l'intimité de mon bureau. Jeles pouvais presque toucher et me jeter dessus pour les caresser et leslécher. La douleur mêlée à de la joie en devenait alors intolérable. Aupoint que je fermais les yeux durant la conversation et qu'elles'exclamait : »Quelque chose ne va pas ? » Je répondais indéfectiblement: « C'est mon ulcère. »Ajoutons à cela qu'elle allait des fois un peu plus loin. Notamment à lamanie de croiser les cuisses, elle pouvait alors les écarter trèsostensiblement demeurant ainsi longtemps. Suffisamment pour que je pus yvoir à l'intérieur. Alors je découvrais la qualité et la teneur de saculotte. On m'avait informé que celle-ci pouvait être des fois osée cartransparente. En effet je pus m'aviser un jour que la base de celle-cil'était. Qu'on lui voyait distinctement le pubis. Je pouvais ...
    ... presque encompter les rares poils. Je maugréais : « Ah la garce ! » Je ne medélectais pas moins de ce spectacle.J'avais dans l'idée qu'elle voulait se venger sur moi de certainshommes. Cependant je trouvais troublant la haine qu'elle pouvaitéprouver pour certains porcs tel que moi. Sa résolution netrahissait-elle pas en même temps une certaine fascination ? Il mebrûlait de lui poser la question et qu’elle y répondit loyalement. Nousdemeurâmes ainsi deux ans dans ce jeu vain de chat et de souris. J'yperdais le plus souvent et j'aurais été à vrai dire le plus malheureuxdu monde qu'elle rompit le jeu. De posséder son corps par la seule vuem'était devenu une nécessité et une drogue.Puis il advint qu'un jour elle eût recours à moi pour un serviceimportant. Il me fut confirmé qu’elle pouvait d'un coup devenir des pluscyniques. Cette beauté était sans cœur. Elle pouvait s'asseoir sur sonamour-propre pour servir tout son intérêt. Elle faisait fi du passéd’humiliations infligées pour d'un coup se radoucir à mon égard etoffrir comme une sorte d'ouverture. Je pris d'abord cela tel un capricesadique. J'y vis un piège. Elle m'attirait au sommet pour m'enprécipiter de plus belle. Elle avait naguère soufflé ainsi le chaud etle froid. La cruelle était capable de cela.Je crus tomber de ma chaise lorsqu'au cours d'un échangeprofessionnelle, elle glissa : « Jusqu'à présent vous ne m'avez jamaisinvité à déjeuner. Je sais que vous faites cela avec certainescollaboratrices. » Il est vrai j'avais de ...
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