1. Clichés du fétichiste


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Humour,

    ... J’effectuais les premières prises de photos concluantes.Elle croisait et écartait à mesure les cuisses. Poses plus lascives lesunes que les autres. Je me prenais au jeu. Paparazzi furieux, je nevoulais négliger nulle miette de ce spectacle. Je la mitraillais et sonsourire glorieux manifestait de sa satisfaction que j'appris vite. A unmoment elle m'invita d'approcher. Surpris et trahissant ma timidité,elle s'impatienta. Elle cria : « Approche mon lourdaud ! » Lorsque jefus à portée de main, elle porta la sienne sur le renflement qu'accusaitmon alors mon pantalon. « Tu bandes mon chérie. » « Si tu es méritant,tu auras droit à récompense. »La séance reprit. Elle procéda au strip-tease promis. Elle enleva l'unl'autre bas en une lenteur appropriée et quasi religieuse. Cela menouait la gorge. J'étais par trop émue de voir émerger à mesure tout cegalbe blanc. Cela avait le savoureux et la grâce de la chair d'uncoquillage. Ces jolis pieds apparurent avec à leurs embouts, ces onglesnacrés de leur vernis rouge. J'eus voulu les baiser et les lécher. Jefis en sorte d'en immortaliser chaque détail sur la pellicule. Jecroyais être au comble. Elle repoussa plus loin le vice jusqu'à retirerprestement sa culotte qui ne cachait rien.Maintenant le soleil rasant à cette heure frappait de son rayon mutin lachatte nue ainsi exhibée. Elle riait d'autant qu'un pêcheur ou un autrevoyeur eurent pu munis de jumelles lui reluquer la moule. Enfin elle setourna sur le siège afin qu'on lui vit entièrement ...
    ... le cul. Celui-ciétait massif, cochon à souhait. Elle se dandinait et le remuer à ravir.Celui-ci semblait crier : « Il est à vous. Disposez-en ! » Un mâle plusavisé y eût porté la main voire et y eût glissé un ou deux doigts. Je mecontentais en vain de bander et de prendre quelques autres clichés.Elle regarda sa montre et mi-sérieuse s'exclama : »Nous arrivons auxtermes du voyage. C'est la séance des récompenses. Approche ! » Làm'approchant pris dans une sorte de ferveur, je la vis écarter toutbonnement ses cuisses et m'offrir à la bouche, sa vulve. Là elle cria :»Lèche-moi mon gros cochon ! » Je ne me fis pas prier. Dommage qu'il n'yeût un tiers pour photographier. Je fis si bien que cette salope au boutde quelques minutes jouit sous la langue. Je léchais le plat. Elle setortillait d'aise et n'avait cure qu'on l’entendit gémir trop loin. Jegravissais moi-même le ciel.Elle siffla la fin de la partie ou du moins le crus-je car après m'avoirrepoussé avec la dureté égoïste de celle qui s'est rassasiée de plaisir.Elle s'enquit de remettre ses bas et culotte. Me considérant du coin del’œil et constatant mon air penaud et ma bite en berne, elle sourit unedernière fois. Elle ajouta : »Je te dois une dernière récompense. Allonsdans ma bagnole » L'air s'était d'un coup rafraîchit. Le soleildécampait déjà derrière l'horizon. Dans moins d'une heure nous serionsavec nos conjoints respectifs. A mon tour j'étais installé à la place dumort.Elle commença à me branler pour réanimer peu à peu ...
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