1. Le grenier


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, ff, cocus, essayage, hotel, Oral pénétratio, fsodo, exercice,

    ... m’épilait la chatte. Mettre un corset n’est pas de tout repos. Je comprends qu’il fallait à l’époque une femme de chambre pour l’installer. Derrière, un lacet circule d’œillet en œillet, et à mesure que Claudia le tend, j’ai l’impression qu’on m’étouffe. Mais il faut le dire, cela donne une silhouette de charme. Les hanches sont mises en valeur, la taille étranglée, et ne parlons plus de ce petit ventre dont je n’arrive pas à me débarrasser. La poitrine est rehaussée et l’arrondi des seins donne la vision de deux collines séparées par un vallon que la queue de Damien a déjà exploré. Ne reste plus qu’un nœud à serrer juste sous les seins pour apporter la touche définitive. Je ne sais pas si c’est la traction de Claudia qui s’évertue à ajuster la dentelle ou une respiration trop profonde de ma part, mais comme par magie, mes deux seins jaillissent de leur carcan, soudain tout heureux de retrouver un peu d’air. La surprise passée, nous éclatons de rire. Un regard dans le miroir me montre élégamment corseté, hanches épanouies, taille étranglée et deux seins sortis dont les tétons pointent. La tenue sérieuse s’est transformée en tenue coquine. Tout compte fait, c’est assez mignon. Le corset, galbé en haut pour contenir les seins, s’est transformé comme en un soutien-gorge demi-balconnet comme celui que Damien m’avait offert un jour d’envies coquines. Claudia aussi regarde. Son rire s’est transformé en sourire. Je ne sais pas pourquoi, mais elle ne dit plus rien. Elle s’approche ...
    ... seulement pour dénouer le fameux nœud et recommencer, mais sans prévenir je sursaute. Sa main vient de toucher par mégarde un téton. Je me sens toute chose, ne comprenant pas pourquoi. C’est en regardant dans les yeux de Claudia que je comprends. En un instant, sans crier gare, sans préméditation, sans y penser, je la vois comme elle me voit actuellement. Ses yeux brillent. J’y lis le désir, l’envie. Son regard me trouble. Je ne sais pas quoi faire. C’est elle qui agit. Elle s’approche un peu plus. Son visage est tout près du mien. Ses lèvres touchent les miennes. Je ne bouge pas. Jamais jusqu’ici je n’avais eu le moindre désir envers une autre femme. Pourquoi je me laisse faire ? Elle s’enhardit. Comme celle d’un homme, sa langue se glisse entre mes lèvres. Elle penche légèrement la tête, pousse sa langue plus loin, découvre la mienne qui ne se cache pas. Ce qui me prend, je ne le saurai jamais ! J’enveloppe sa tête avec mes mains et transforme la délicate intrusion en bataille, en baiser ardent et goulu. Elle répond bien sûr à mon ardeur, prenant ce geste fou comme un accord. À partir de maintenant, c’est elle qui prend le dessus. Entière, possessive, dominante, elle me fouille la bouche. Ses mains ne sont plus à la recherche du lacet ou du nœud. Elles trouvent mes seins, mes tétons dardés. En un instant je me retrouve assise sur une chaise, je soulève les fesses afin qu’elle puisse descendre ma culotte. Sa bouche découvre ma chatte lisse, ma fente humide. Sa langue est une ...
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