1. "Ne vous inquiétez pas !"


    Datte: 21/08/2017, Catégories: fhh, inconnu, taille, poilu(e)s, bizarre, hdomine, contrainte, photofilm, fgode, pénétratio, fsodo, fouetfesse, humour,

    Soledad devait son prénom, fréquent à Xanaltapa, à une fantaisie de son père qui, attaché d’ambassade, s’en était épris. Les Mexicains crevaient de solitude et de misère. Soledad, elle, épousa un très bel homme ; attentionné, sûr. Qui travaillait à l’étranger. A Paris, Soledad marchait seule. Elle aimait les rues de Paris. « Ne vous inquiétez pas ! » affirma soudain le barbu ventru qui l’accosta. Elle se figea. « Je ne suis pas un dragueur, ne vous inquiétez pas. Mais vous êtes jolie, très jolie, et… » De fait, Soledad était assez sublime. Brune aux yeux bleus, typée dans un genre doux, elle avait un visage dont on se détachait avec difficulté. Son corps était de proportions parfaites : elle n’était pas tellement grande, mais tout de même élancée. Pas ronde, mais voluptueuse néanmoins. Ce qui ne se voyait pas en public, c’est que sa poitrine était ravissante, émouvante même. Un peu petite quand même. Quant à sa chatte, elle était admirablement découpée. Ses lèvres charnues ne pendaient pas, sa touffe pubienne ne nécessitait nul défrichage, elle n’était ni miteuse, ni équatoriale. Elle était l’écrin soyeux d’un ravissant pubis, et plus bas d’une délicate rosette. Mais personne n’en profitait en réalité, car Soledad était à mille lieues de s’épier le bas-ventre dans un miroir, et son bel Alain n’était guère amateur de minauderies visuelles ni buccales. « En fait, je souhaiterais vous photographier et, ne vous inquiétez pas, il s’agit de photos de visage. — Vous plaisantez ? ...
    ... Je ne vous connais pas. » Les palabres durèrent longtemps. Soledad n’avait aucun besoin d’argent, ni d’une quelconque notoriété, mais elle s’ennuyait un peu. Alors Gilles sut la convaincre de se rendre à cette adresse précise, jeudi matin. Au fond, cette petite nouveauté dans le train-train lui apportait un peu d’excitation. Après s’être lavé les cheveux, la foufoune et tout le reste, après avoir revêtu une robe qui lui seyait parfaitement, Soledad se rendit donc à l’adresse indiquée. Gilles l’accueillit avec un grand sourire. « Vous ne vous êtes pas trompée, c’est bien là. » C’était un vrai studio de photo, ce qui la rassura d’emblée : une grande pièce parquetée et lumineuse, avec de grands pans de murs blancs et des grands miroirs pour agrandir encore. Un lieu technique, mais chaleureux, il y régnait une odeur boisée. Soledad était impressionnée et fort empruntée en parcourant les mètres carrés vides. Qu’attendre de la blancheur ? On la fit asseoir. Gilles et ses assistants s’occupèrent de la préparer, maquillage subtil et blagues pour la faire sourire, tandis que Soledad avait détaillé sans bouger l’immense photographie de ces grosses fleurs jaunes sur le mur opposé – avec une influence incontestable des impressionnistes. Après qu’Armand eut fini de restructurer son regard et son sourire, la jeune femme s’était à son tour regardée dans la glace. « Je suis radieuse, mais je ne me reconnais pas. » avait-elle constaté. Les prises de vue furent nombreuses et durèrent un bon ...
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