1. "Ne vous inquiétez pas !"


    Datte: 21/08/2017, Catégories: fhh, inconnu, taille, poilu(e)s, bizarre, hdomine, contrainte, photofilm, fgode, pénétratio, fsodo, fouetfesse, humour,

    ... moment. Soledad eut chaud, on fit une pause et Armand lui apporta de l’eau fraîche. Gilles avait pris un air pensif. « C’est longuet, n’est-ce pas ? » dit-il en souriant. « Et puis un peu statique. » Il hésita un instant et se lança : « Ne vous inquiétez pas, mais… accepteriez-vous de faire quelques photos de lingerie ? C’est bien mieux payé, et je cherche quelqu’un comme vous. Enfin j’ai bien l’impression, parce que là, ma foi, je ne vois pas bien. » Il eut un petit rire gêné. Soledad répondit assez sèchement qu’elle n’avait pas besoin d’argent. « Mais ce serait dommage de ne pas utiliser vos possibilités » ! protesta Gilles. « Et, ne vous inquiétez pas, nous avons un endroit pour se changer » – il avait vu que Soledad avait inspecté la pièce d’un air circonspect. Gilles ne s’arrêta plus de parler, jusqu’à lui extirper un accord tiède. Un vrai camelot ! A demi convaincue, Soledad se rendit dans l’alcôve, entendit Armand dire au revoir à la cantonade, puis la porte s’ouvrit et se referma. Deux fois. Soledad n’avait pas commencé à se déshabiller. Pas question qu’un autre qu’Alain la voie en sous-vêtements. Déjà, elle prenait ses affaires et partait, ses talons dérapant sur le parquet sous l’effet de la confusion, quand elle entendit Gilles dire : « Ne vous inquiétez pas, mais je vous envoie le nouveau maquilleur, il est spécialiste pour la lingerie. » Elle s’arrêta net, un gorille venait de faire son apparition. C’était un monstre physique de deux mètres de haut, souriant ...
    ... mais poilu, mastoc comme un héros de bande dessinée. Soledad faillit éclater de rire, mais se retint. Après tout, avec un gabarit pareil, il valait mieux être sûre qu’il ait le sens de l’humour. « Gilles, j’y vais, c’est mieux comme ça. Je me suis bien amusée, pas besoin de me payer. Bye. » Et Soledad cette fois-ci partait pour de bon. « Voyons, essayez ! » implora Gilles. Il la supplia en vain. Elle était déjà à la porte. Cela dura l’espace d’un éclair. Le Yéti fonça et fit un rempart de son corps devant l’entrée – ou la sortie en l’occurrence – et dit à son tour : « Madame, je vous en prie. » Puis à voix basse : « J’ai besoin de travailler… » Soledad était un peu effrayée, mais graduellement, l’envie de rire la reprit. Elle s’approcha du gorille avec détermination, s’apprêtant à lui dire que ça allait bien comme ça, qu’il s’écarte, etc. Ni une ni deux, celui-ci la saisit aux cheveux, la courba en continuant à murmurer qu’il devait travailler, qu’il avait besoin d’argent, et lui administra par-dessus la robette… une fessée ! Ca ressemblait à un mauvais gag ; Soledad était totalement abasourdie, d’autant que la voix de Gilles susurrait : « Ne vous inquiétez pas, cela prendra peu de temps, cinq minutes peut-être, je vérifie juste, vous allez voir, je vous en prie. » Sa voix mourait dans ces litanies insensées et, sonnée, Soledad rejoignit l’alcôve. Le gorille s’y trouvait déjà et prestement, commença avec un air consciencieux à défaire les boutons de son chemisier. La jeune femme ...
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