"Ne vous inquiétez pas !" - Histoires de Sexe

"Ne vous inquiétez pas !"

... restait sans réaction. Gilles fit la moue ; il trouvait visiblement que la poitrine de Soledad était belle, mais trop menue. Il se reprit vite : « Ne vous inquiétez pas, j’ai toutes sortes de modèles. » Soledad n’avait nul besoin d’être rassurée, elle avait juste l’impression de rêver. Sans comprendre le pourquoi et moins encore le comment, elle se retrouva buste nu. King Kong flatta ses seins d’une main sereine et velue. Ses petits seins étaient dressés à présent. Ses seins BANDAIENT ! Elle faillit avoir une attaque. L’essai de trois soutiens-gorge ne fut pas concluant, elle ne réagissait toujours pas, quand Gilles proposa, sans vouloir l’inquiéter, de passer aux culottes et aux strings. D’un coup, elle fut réveillée et se rebiffa, commença à s’agiter et à élever la voix et… « Soyez raisonnable ! » murmurait King Kong, qui l’avait allongée sur ses genoux ; sa culotte avait été baissée à son insu à mi-cuisses, et elle sentit le plat d’une main énorme s’abattre sur son fessier rebondi. Estomaquée comme elle l’était, elle ne cria pas avant la huitième claque assenée à ses fesses, au moment précis, mais elle n’en eut nullement conscience, où son sexe commençait à s’humidifier, à se détendre et à se gorger de désir. « Ne vous inquiétez pas, cela ne marque pas ! » disait Gilles le grand relativiste, qui semblait également un peu désemparé. La paume de Robert – le gorille – fit rosir sept fois encore le fessier de Soledad, et il chantonnait sans rapport « Les stances à Sophie ...

... ». « Ne vous inquiétez pas, ne vous inquiétez surtout pas ! » hurlait presque Gilles. La main de Robert finit par stopper son mouvement vertical et, contre toute attente, ne fit aucun cas de la rosée érotique qui humidifiait toute la zone périnéale. Gilles s’exclama joyeusement que ce cul était merveilleux et que, ne vous inquiétez pas, j’ai un string qui vous ira à ravir ! Soledad, totalement déboussolée, changea de slip devant Gilles , tandis que Robert le Poilu détournait pudiquement le regard. Gilles battait des mains : « Formidable. Formidable ! Ne vous inquiétez pas ! » Malgré l’harmonie de la touffe pubienne, quelques poils follets dépassaient du sous-vêtement échancré. Surtout, le tissu léger ne laissait rien ignorer du gros de la friche pileuse. « Ne vous inquiétez pas, on retouchera tout ça à l’ordi. » Les photos étaient numériques, et l’équipe disposait d’un PC haut de gamme. A la dixième culotte qu’elle enfila rageusement devant les deux erreurs de la nature, et qui ne lui allait pas parfaitement, Gilles affirma qu’il ne fallait pas s’inquiéter, l’une d’elles finirait bien par lui aller. Elle avait de si belles jambes et une si belle croupe, bien qu’un peu basse. Elle choisit cet instant pour courir vers la sortie, mais Robert la cueillit bien avant le seuil de la porte, la prit dans ses bras et la jeta sur un matelas. Elle trépigna de rage, comme une gamine qu’on empêchait de jouer. Gilles la contempla, pensif, et affirma qu’elle avait besoin d’un réconfort. « ...