1. À demi-mots


    Datte: 10/04/2019, Catégories: campagne, cérébral, exercice, humour,

    ... deux électro-aimants surpuissants. Je suis prêt à arracher sa chemise. Je la sens prête à déboutonner mon pantalon. Mais il y a Victor… — Alors ? Qu’est-ce qui vous amène ? demande-t-elle en s’asseyant derrière son bureau et nous désignant deux fauteuils lui faisant face.— Victor a mal à l’oreille droite depuis trois jours.— Bien, voyons cela… Elle se lève et se dirige vers la table molletonnée. — Si tu veux bien venir t’allonger… Elle se retourne et me lance un regard de biais. Un regard chaud comme la braise. — C’est à Victor que je parle… ajoute-t-elle. Hum… Madame est joueuse… J’adore ! Et moi aussi, je suis joueur. Je fixe ses fesses, magnifiquement galbées dans cette jupe qui lui va à ravir. — Vous avez un magnifique… cabinet, Samantha. Elle pivote. Je prends soin de ne pas détourner le regard. Elle le capte, toujours plongé sur son adorable fessier. Elle sourit. Les règles du jeu sont tacitement entendues entre les adversaires. — Et encore, répond-elle, vous ne voyez que la partie publique… Les parties privées valent le détour.— Je vous crois volontiers…— Il faudrait que je vous fasse visiter, à l’occasion…— Ce serait un immense plaisir pour moi ! De toute façon, je vais devoir revenir dans la semaine, quand Victor sera reparti chez sa mère… J’ai une sorte de tendinite. Assez fier de moi, j’ai réussi à caser que j’étais seul, libre et que j’étais tout disposé à me livrer à ses côtés à quelques aventures purement sexuelles. Elle ausculte toujours Victor, dandinant ...
    ... légèrement des fesses. Le gamin doit avoir une vue plongeante dans son décolleté. Le veinard ! — Ça fait longtemps ? demande-t-elle.— Quoi donc ?— Cette tendinite.— Ah non, c’est très récent. Pour tout vous dire, ça a commencé quand nous sommes entrés dans votre cabinet.— Vraiment ? Comme c’est curieux… Je sens au son de sa voix que ce petit jeu l’amuse tout autant que moi. — Il faudrait peut-être que j’y jette un œil dès aujourd’hui, ajoute-t-elle.— Vous croyez ?— Si votre « tendon » est dur au point de vous faire souffrir, il faudrait faire quelque chose pour le soulager. La déontologie m’interdit de vous laisser partir comme ça… Elle examine les oreilles et la gorge de mon fils. — C’est une otite externe, confirme-t-elle. Tu peux te relever, bonhomme. Victor s’exécute et vient reprendre place dans le fauteuil près de moi. — Voyons cette « tendinite » à présent… Elle me regarde et tapote la table en me souriant. Je ne me dégonfle pas. Dans tous les sens du terme. Je m’approche et m’allonge à mon tour. Elle se place au niveau de mon bassin, empêchant mon fils de voir cette zone. Elle se penche un peu et m’offre une magnifique vue dans son tout aussi magnifique décolleté. Ma « tendinite » devient de plus en plus incontrôlable. — En effet, pour une tendinite, c’est une sacrée tendinite ! Et tout en admirant le résultat, elle applique les deux mains sur la zone à traiter, dessinant de ses doigts le contour de la lésion. — Une énooorrrrmme tendinite, même ! ajoute-t-elle en ...
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