1. Première fois, entre collègues de travail


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail poilu(e)s, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral

    ... lentement les pans de son chemisier, comme avec hésitation. Elle portait dessous un soutien-gorge vert, très simple. Le chemisier tombé, je crus que nous allions recommencer à nous embrasser et je tendis à nouveau les lèvres quand je vis que ses mains étaient maintenant parties derrière son propre dos, à chercher l’agrafe qui séparait encore mon regard de la peau nue de ses seins, de ses aréoles et de ses tétons. Elle la trouva rapidement, mais maintint un instant, avec sa main droite promptement revenue sur sa poitrine, les bonnets sur ses seins, tout en plongeant son regard dans le mien, sans dire un mot. Je commençai alors à ôter mon tee-shirt, et elle m’aida avec sa main libre. Elle semblait maintenant parfaitement déterminée vers un but que nous connaissions tous deux mais auquel ni moi ni, sans doute, elle, ne croyions encore complètement. Une fois que je fus torse nu, elle baissa lentement la main restée sur sa poitrine et je vis alors pour la première fois ses seins. Ils me parurent très beaux, légèrement tournés et dressés vers l’extérieur. Les aréoles étaient très brunes, mais pas trop larges, exactement comme je me les étais imaginées en rêve. Sa peau était lisse, brune et sans défaut. Montant mes mains depuis son ventre nu et tiède, je caressai ses seins par-dessous, comme si je craignais de les froisser. J’avais une envie incroyable de mettre ma bouche sur l’un d’entre eux, ou sur les deux, mais je me contins encore et me contentai de les masser doucement. ...
    ... Nabiha avait comme un petit choc électrique à chaque fois que mon doigt touchait l’un de ses tétons, c’est pourquoi je ne le laissai jamais trop longtemps à leur contact. Mais j’y revenais inlassablement. Nabiha avait enlevé ses chaussures lorsqu’elle était montée sur mes genoux, et je jetai à la dérobée un regard sur ses pieds, que je n’avais jamais vus nus non plus. Ils étaient ni trop petits ni, surtout, trop larges, ce qui était parfait. Ses orteils ne portaient pas de vernis. Nabiha ne portait ni rouge-à-lèvres, ni parfum, ni vernis, et s’habillait presque comme un garçon, à l’exception des chaussures babies qu’elle portait, et d’un haut qui soulignait en général le rétrécissement de sa taille juste avant l’élargissement des hanches, dévoilait son cou et le haut de sa poitrine, que visiblement elle aimait bien (à raison). Malgré tout, elle dégageait dans l’ensemble une féminité très forte, qui venait très certainement de la douceur de ses gestes, de son regard, de sa voix et, d’une façon générale, de son tempérament. Mentalement, je me fis la réflexion qu’il nous restait encore à enlever : son pantalon et le mien, mes chaussettes et… le reste. Je fis mine de vouloir m’installer un peu plus confortablement sur le canapé et elle s’écarta juste ce qu’il fallait pour que j’enlève mes chaussures. Les chaussettes partirent avec, très rapidement. C’est alors qu’elle fit ce qui me parut le plus incroyable : plutôt que de se remettre assise sur mes genoux, elle s’empara de ma ceinture ...
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