1. Première fois, entre collègues de travail


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail poilu(e)s, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral

    ... et commença à défaire la boucle. Pour ne pas être en reste, je fis sauter le bouton de son jean. Toujours sans nous regarder, nous faisions maintenant glisser la braguette de nos jeans respectifs. Cela se fit vite d’un côté comme de l’autre, car nous ne voulions pas nous attarder sur l’étape consistant à enlever le pantalon, qui n’est correctement exécutée, à mon sens, que par des professionnels du strip-tease. Elle s’écarta du canapé, se leva, fit baisser son pantalon jusqu’à ses chevilles et en sortit ses pieds, dont j’eus subitement envie de mettre les orteils dans ma bouche. Remontant le regard, je vis alors sa petite culotte. Elle était rose. J’avais du mal à ne pas rester fasciné, mais je fis le nécessaire pour me débarrasser, moi aussi, de mon pantalon. Je n’osai trop penser à ce qui se passait au-dessous de ma ceinture, mais je sentis que mon sexe était sur le point de dépasser de mon boxer et l’idée me gênait beaucoup. Je ne voulais pas que Nabiha le voit tout de suite. Nous sommes restés un moment à nous embrasser debout. Je sentis sa langue s’enrouler à nouveau autour de ma langue et tourner lentement. La mienne se fit un passage derrière la sienne et j’essayai de la pousser jusqu’à toucher son palais, ce qu’elle me laissa faire sans résistance aucune. Ses seins nus touchaient désormais ma poitrine, et je les caressais toujours de façon discontinue, mais maintenant en enveloppant chacun de ses globes tour à tour avec l’une de mes mains. À la réaction de sa langue ...
    ... dans ma bouche, je sentis qu’elle aimait particulièrement ce à quoi mes mains s’occupaient. Enhardi par cette information, je commençai alors à explorer, toujours avec la plus grande prudence, le bas de son ventre. Mes doigts jouaient avec l’élastique de sa culotte et se glissaient juste derrière, mais pour l’instant, pas plus. Je touchai quelques poils pubiens, qu’elle avait l’air d’avoir en abondance. Puis, très vite, je passai le dos de la main sur le renflement qui était un peu plus bas. C’est à ce moment qu’elle eut encore comme choc électrique léger et poussa un petit « Oooh » de satisfaction, prolongé et étouffé… Elle prononça pour la première fois mon prénom, comme avec des points de suspension derrière, comme pour me demander, maintenant, de lui enlever sa culotte. Mais il était encore trop tôt. Je voulais profiter encore de tous les recoins subitement découverts de sa peau lisse et brune, ses deux petits seins, son nombril, de ses pieds. Comme malgré moi, je fis à nouveau passer le dos de ma main sur le tissu de sa culotte, là où commençait son sexe. Les battements de nos deux cœurs s’accéléraient et peau contre peau, aucun de nous deux ne pouvait douter de l’émotion qui commençait à envahir l’autre. Je pensais que nous allions partir dans sa chambre, où les volets étaient fermés, mais Nabiha ne semblait pas vouloir partir du salon. Même sans lumière, je pouvais voir parfaitement, entre deux baisers, les traits de son visage. Elle avait l’air très concentrée, presque ...
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