1. Qui suis-je vraiment? 06


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Les aires de boulot: Le lendemain soir, le serveur vînt me chercher accompagné par de Nietzche et Fabrice. Habillée comme la veille à leur demande je rentrais dans la voiture la gorge nouée par ce qui allait se passer. Il n'y eut aucun mot dans la voiture ni aucun geste à mon égard jusqu'au sortir de la ville. Juste des regards avides à mon encontre renforçant mon inquiétude. Une fois sur le périphérique, Nietzche dévoila enfin son plan. Il allait m'exhiber sur les aires de repos. Sur ces mots, ils m'obligèrent à ôter dans la voiture tous mes vêtements, même mes bas et mon porte-jarretelles. C'est donc sous les remarques dégradantes que j'enlevais les derniers bouts de tissus. - Nietzsche : Tu nous fais ta prude ou quoi. Une garce comme toi ça doit être capable d'être complètement à poil en moins d'une minute - Fabrice : Je vais l'aider, j'ai pris un couteau au restaurant, et puis comme elle adore se balader la croupe à l'air cela ne lui manquera pas Ne sachant pas s'il en était capable je me précipitai et me retrouvai nue. Aussitôt Fabrice et Nietzsche qui m'encadraient tous les deux à l'arrière m'installèrent à leur pied, tandis que le serveur nous enmenant sur l'A10 régulièrement des coups d'oeils dans le rétroviseur. - Nietzsche : Laurence, tu vas nous sucer en attendant la première aire de repos. Au travail ma petite chienne. - Fabrice : Comme cela tu montreras qu'en plus de t'exhiber tu es une tailleuse de pipe hors pair. Je débutais donc la fellation avec le pervers ...
    ... qui en profita pour faire coulisser sa chaussure dans mon entrejambe s'exclamant immédiatement - Fabrice : Je n'ai pas eu le temps de cirer mes chaussures depuis quelques temps. Alors vu qu'elle mouille abondamment cela fera bien l'affaire. Ah, Ah Ah!!! - Serveur : Il faudra la louer aux hôtels elle pourrait remplacer les machines à lustrer. - Nietzsche : Ne te déconcentre pas Laurence, et avale bien nos sexes. Avec ces propos humiliants et le frottement appuyé des chaussures de Fabrice, je commençais à sentir les prémisses d'une jouissance. Cela me rendait folle, et j'entrepris dés lors une fellation où je combinais une masturbation rapide avec mes lèvres serrées contre le pénis, à des petits coups de langues sur leurs bouts turgescents et enfin je gobais leurs testicules tout en effectuant des va et vient rapides. Quelques minutes plus tard, Fabrice sortît sa chaussure d'entre mes cuisses pour exposer à ses copains hilares le cuir luisant de mouille. Je ne pus m'empêcher de rougir, tellement honteuse qu'il exhibe ainsi mon état de plaisir malgré les propos et actes dégradants. Ce pervers, poussa mon visage de nouveau vers son sexe. Je l'avalais encore une fois et le fis coulisser deux ou trois fois avant qu'il n'éjacula. Je relevais la tête pour voir Nietzche m'indiquer qu'il fallait que je fasse de même pour lui. - Nietzsche : Laurence, conserve son sperme. Tu ne l'avaleras uniquement qu'avec le mien. Comment pouvais-je accepter cela? L'ordre était tombé, et je ne fis rien ...
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