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Qui suis-je vraiment? 06
Datte: 11/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... par l'appréhension d'être vue voire tripotée que je me retrouvée entièrement vêtue. Ils me montrèrent alors les photos digitales reflétant mes qualités d'exhibitionniste. Le retour fût très calme et Nietzsche d'un large sourire me remercia pour cette soirée me soulignant que si je le souhaitais n'étais que la première d'une longue série. Expier ses fautes: Quelques jours plus tard, bien remise de ces évènements mais toujours honteuse suite à la de cette femme sur l'aire d'autoroute, Nietzsche m'ordonna d'aller à la messe pour faire pénitence. Bien évidemment le but était de me pousser une nouvelle fois à m'exhiber dans un lieu public. Je dus porter la minijupe fendue derrière qu'il m'avait ordonné d'acheter au début de notre relation (cf. Qui suis-je vraiment N°2). A cela il m'intima de mettre des bas blancs à fixer à un porte-jarretelles de la même couleur. Le bas était sans dessin mais avec la couture apparente derrière, cela donnait envie à tout homme de remonter le long de la jambe pour voir où cela s'arrête. Or malheureusement pour moi la jupe commençais seulement à partir de la démarcation du bas. Pire encore lorsque je marchais, un fétichiste avertit pouvait entr'apercevoir la pince et l'élastique du porte-jarretelles. Pour protéger mon sexe du froid vif j'eus le droit de porter un string tanga. Il permit aussi à Nietzsche d'immiscer dans mon vagin le diabolique vibromasseur. Quant au haut, c'était un chemisier de soie, certes il n'était pas transparent mais la ...
... fluidité du tissu laissait deviner que je ne portais pas un simple soutien-gorge mais un corset dont le haut formait une sorte de plateau pour mes seins. Je partis donc à la messe avec mon homme la télécommande dans sa poche afin de me posséder en pleine cérémonie. Celle-ci débuta tranquillement pour moi. Mais Nietzsche me fît part de sa joie de constater que derrière nous deux personnes âgées commençaient à avoir les yeux rivés sur mon postérieur. Pour leur permettre de mieux comprendre quels sous-vêtements étoffés mon corps, il me « recommanda » de me courber lors des prières ou des chants. L'œil en biais, Nietzsche se félicita du résultat que cela avait sur les deux voyeurs, et en profita pour activer l'engin inséré dans mon vagin. J'eus un petit sursaut, puis essayai de cacher le désir qui montait en moi. Voyant que j'arrivais à contenir l'émotion suscitée par l'objet, Nietzsche poussa la cadence de l'engin fiché en moi. Au moment de m'asseoir. Je me penchais alors vers lui le suppliant d'arrêter au risque sinon de jouir en pleine messe. Le regard amusé, il stoppa le vibro et me fît promettre de me pencher à la fin de la cérémonie sans plier les genoux afin d'exposer à mes deux admirateurs le haut de mes bas jusqu'à la lisière de mes fesses. Pour bénéficier en outre de cette faveur, il m'ordonna de remonter ma jupe derrière afin que la peau nue de mes cuisses puisse toucher le banc froid de l'église. Cela eu pour effet de m'électriser encore plus et d'empourprer par là même mon ...