1. Qui suis-je vraiment? 06


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pour m'y opposer. Au contraire j'essayai tant bien que mal de sucer mon amant sans perdre le sperme de Fabrice. Sans succès bien sûr. Je soupçonne même Nietzsche de l'avoir faire exprés en me prenant les cheveux pour me forcer à coulisser au maximum mes lèvres le long de sa hampe. Résultat, des sécrétions blanchatres se m^rient à pendre de mon menton tel un boxer avec ses babines. Leurs sarcasmes sur mon état rendait cette situation d'autant plus dégradante moralement. Heureusement Nietzsche explosa un bref instant plus tard et je pus ainsi déglutir une nouvelle fois leurs jus. Sur ce point le sperme de Fabrice était plus amer mais je n'en étais pour autant pas écœuré. Au contraire je commençais à apprécier ce liquide personnalisé, tout en espérant ne pas aimer d'autres aspects que jusqu'alors je trouvais fortement avilissant. Arrivé dans la première aire de repos, Nietzsche me força à passer devant pour satisfaire Jean, le serveur. Passant entre les deux sièges pour répondre à l'ordre, je fus bloqué par deux mains me retrouvant dans une position fortement inconfortable. Le buste et la tête à l'avant, idéalement placée pour réaliser la troisième fellation, et le bassin coincé entre les deux sièges. J'entamais la turlutte tandis que les deux acolytes derrières se mirent à me donner des petites claques. Le serveur quant à lui était tellement excité par les propos et ce qu'il avait vu dans le miroir qu'il explosa en seulement deux minutes. Toutefois au lieu d'avaler sa ...
    ... substance il se fît un malin plaisir à me badigeonner de son sperme sur ma chevelure. Il proposa alors à Nietzsche un scénario qui me donna la chair de poule : - Jean : Tu devrais l'obliger à aller chez le coiffeur ainsi afin de montrer quelle salope elle est. - Nietzsche : Bonne idée, qu'en penses tu Laurence? - Moi : Non pas cela je ferais tout ce que vous voulez mais pas cela. - Nietzsche : On verra cela plus tard.? Sur ces entrefaites, Fabrice substitua les claques par triturer le plug fiché dans mon anus. Tandis que l'un des deux faisait aller et venir le jouet, l'autre claquait mes fesses ou tirait sur mes lèvres. Le pire c'est que ce traitement abject moralement m'excitait physiquement. Il ne fallut pas longtemps pour que mon corps me trahisse. Je perdai pied et au final hurlai de plaisir. Mon esprit retrouvé, Nietzsche reprit la parole. - Nietzsche : Tu pourrais crier moins fort on n'entend que toi! - Moi : Pardon mais c'était trop bon vous savez. - Tu te rends compte que tu as joui uniquement en te faisant prendre par le cul. Tu as sacrément changée tu sais. - Oui je ne suis plus la prude que j'étais autrefois. - Dis-nous alors ce que tu aimes faire maintenant et que tu abhorrais auparavant??? Inconsciemment mes joues s'embrasèrent. J'allais avouer concrètement que j'aimais des choses que la plupart des gens considèrent le fait de dépravés sexuels. Je me mis à bafouiller tellement génée d'avouer cela et tout en baissant la tête, sous les regards attentifs des trois hommes ...
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