-
Qui suis-je vraiment? 06
Datte: 11/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... leur avouai : - Moi : J'aime prendre vos sexes dans ma bouche, les sentir vibrer grâce à mes lèvres puis sursauter avant d'exploser. Et puis je dois avouer que j'aime le goût de vos spermes, même si cela me rebute encore un peu, je commence à vraiment apprécier. - Nietzsche : Et pour la sodomie tu en penses quoi? - Moi : c'est vraiment embarrassant mais j'arrive à prendre du plaisir quand c'est fait doucement et que vous me donnez des petites claques en même temps, cela me donne des frissons tout le long de la colonne et en parallèle j'ai le bas ventre qui boue. - Nietzsche : Et pour ce qui est de t'exhiber? - Moi : Il n'ya pas plus humiliant pour moi, cela me fait terriblement honte, j'ai peur d'être vue et reconnue et pourtant en pleine action cela m'excite tellement que j'ai envie de recommencer. Et puis vos scénarios sont tellement déroutants que j'ai envie d'aller plus loin. - Nietzsche : En fait tu aimes qu'on te donne des ordres et qu'on te parle crûment. En clair tu es une véritable masochiste. Mais penses-tu pouvoir aller plus loin encore? - Moi : J'ai peur que cela soit vrai. Quand vous me rabaissez je ne sais plus où me mettre mais en même temps tout mon corps n'attend que cela. Oui je suis belle et bien une soumise, et je suis impatiente de connaître vos prochaines débauches. - Cela tombe très bien Laurence, tu vas devoir aller récupérer tes affaires dans les sanitaires. A chaque arrêt, il y aura un vêtement à récupérer. Bien sur si quelqu'un te voit tu devras ...
... poursuivre ce que tu fais même s'il te met la main aux fesses par exemple. Ah, pour qu'on saches où tu es tu chanteras en même temps la chanson de Mylène Farmer : « Je, je, suis libertine, je suis une catin ». Tu as le droit de courir comme cela on pourra voir tes seins ballotter à droite et à gauche. Aller c'est parti. C'est donc totalement nue à minuit sur une aire de repos que j'entamais mon rhabillage. Cela débuta avec le porte-jarretelles, puis lors du deuxième arrêt j'eus le droit au soutien gorge. Tout en chantant donc dans les sanitaires je cherchais dans les toilettes hommes ou femmes le vêtement puis le remettait avant de courir vers la voiture où à chaque reprise j'étais prise en photo. Rien de plus vulgaire en effet qu'une femme vêtue uniquement d'un porte-jarretelles avec les attaches volant au vent, et d'un soutien gorge. A l'aire suivante ils me redonnèrent mes escarpins ce qui rendit mon retour moins aisé. En sortant je croisais un couple. Certes l'homme me dévora des yeux mais sa femme afficha un regard de dégoût, puis m'insulta disant que les traînées de mon genre n'avaient rien à faire ici. Cela fît rire mes trois compagnons tandis que je me sentais rabaissée plus bas que terre. Ils profitèrent du trajet vers l'arrêt suivant pour extirper mes seins du soutien gorge, les titiller, et les pincer. Ce traitement fît rejaillir mon excitation sexuelle. Je ne rencontrais par la suite personne vue l'heure tardive, et ce n'est qu'aux alentours de deux heures, éreintée ...