1. Qui suis-je vraiment? 06


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... visage trahissant ma honte de suivre de tels ordres. Au moment de la fraternisation, les deux vieux ne se firent pas prier pour me faire la bise mais aussi passer langoureusement leur main le long de mes hanches, histoire juste de confirmer une évidence ... je portais bien des jarretelles. Arrivant à la fin je m'appliquai répondre à l'injonction de mon amant et me penchais doucement afin de faire admirer mes cuisses gainées. Je me retournais en suite pour voir deux hommes le regard encore ébloui par le spectacle et me gratifiant d'un large sourire pour l'exhibition ainsi faite. Nietzsche remît alors la machine en marche. J'eus le plus grand mal à me concentrer pour me déplacer mais j'y parvins finalement. Mon sexe n'en était que plus sensible, et les caresses que me prodigua mon amant dans la voiture sur le chemin du retour n'eurent pour effet que d'enflammer mon corps. Arrivés chez moi, tout en sachant que mon fils était au sport avec son copain je me précipitais dans la chambre pour pouvoir faire l'amour avec mon maître. Mais celui-ci avec le sang froid qui le caractérise me demanda de lui faire un strip-tease. De manière gauche je commençais alors à me déhancher tout en remontant ma jupe, tandis qu'il s'installa confortablement dans un fauteuil. Après quelques secondes d'une dans lassive j'otais mon chemisier et faisait tomber la jupe. Il me demanda alors de me mettre à quatre pattes sur le lit et de lui exposer mon derrière. Il se rapprocha de moi et me susurra à ...
    ... l'oreille - Nietzsche : Dis moi cela ne te fait plus peur de t'exhiber dans ta chambre alors que la seule chose qui te protège de la vue des voisins et ce fin voile blanc. Et en plus tu te rends compte que tu as les fesses en direction de la fenêtre. Je retournais la tête pour constater qu'il avait bien raison, la prude Laurence que j'étais avait disparue, mais pas au point de faire cela sans le rideau si mince soit-il. Mais Nietzsche ne me laissa pas le temps de comprendre et d'un coup tira sur le rideau pour qu'aucune barrière ne cache désormais mes fesses, ma position, et ma tenue. Voulant tout de même me cacher des observateurs providentiels, Nietzsche m'arrêta immédiatement : - Nietzsche : Ne bouge pas. Bien que cela te fasse hontetu aimes t'exhiber alors prouve le maintenant. Tu vas même te caresser pour que les éventuels voyeurs profitent de toi un petit moment. Aller, branle toi maintenant. Je fis comme il me le demanda. Après m'être caressée à travers le tissu j'écartai la culotte pour introduire deux de mes doigts dans mon sexe humide. Sans en prendre conscience j'accélérai la cadence afin de procurer le plaisir que mon amant me refuser mais aussi pour oublier la position dégradante dans laquelle j'étais. Avant que je ne jouisse, il referma le rideau et se plaça derrière moi. Il me fît comprendre qu'il allait enfin me pénétrer. J'enlevais donc mes doigts pour sentir son membre remplir mon vagin. Avec une douceur et une patience diabolique il me pénétra puis ressortit son ...
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