Épisode III : La troisième candidate
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... sur mon côté, me frôlant de son corps. Elle avait un peu le rouge aux joues, ce qui me remplit de fierté. J’eus une pensée pour Sandra. Même si j’étais content qu’elle voie la chose comme étant une douce compétition, et qu’elle n’avait aucun sentiment envers moi, je me demandais comment Marianne, elle, verrait la chose. Elle avait l’air tout à fait excitée en ce moment et, si je baisais avec elle, je me demandais bien comment elle réagirait en apprenant que je baisais aussi avec Sandra. Je fronçai les sourcils. Cette réflexion arrivait au moins avant, m’évitant d’éventuels problèmes, mais Marianne continuait de passer tout près, de plus en plus près. La réponse vint d’elle-même. — Tu baises Sandra ? me lança Marianne d’une voix claire. Je me tournai vers elle, décontenancé. Elle était adossée à l’étagère, un sourcil interrogateur relevé. — Comment peux-tu même t’être doutée de ça ? demandai-je, sans mentir.— En fait, je m’en doutais pas jusqu’à maintenant. C’est une belle fille, ce serait pas tellement étonnant, moi si j’étais toi je coucherais avec. Je venais de me vendre, mais c’était une bonne chose. Je répondis spontanément : — Oui, on baise. Apparemment, j’suis pas trop mauvais et laid pour elle. Marianne rit doucement et se retourna, lâchant un « hum » de compréhension. — J’espère que ça te choque pas ? demandai-je rapidement, d’un ton faussement désintéressé. Elle prit quelques secondes à répondre. — Non, non. Du tout. Sa voix était franche et ne marquait pas de ...
... jalousie ou de tristesse. J’en fus soulagé. — Disons que ça faisait longtemps que tous les deux on avait un besoin à combler…— Tiens, tiens. Et quel genre de besoin ? me lança-t-elle en repassant près de moi pour prendre quelques livres. Elle posa son adorable cul sur le bord de la table, me fixant de ses yeux verts. Elle avait l’air particulièrement amusée et détendue. Bon signe. — Besoin de sexe, avouai-je franchement.— Okay, fit-elle simplement, toujours son regard plongé dans le mien. Elle repassa près de moi. Je sentais que malgré tout, je lui plaisais bien. Elle recherchait peut-être simplement, elle aussi, « un peu de sexe ». Ma queue, qui avait diminué pendant ce dialogue stressant, reprit une certaine vigueur. Je changeai de tactique. Je me levai et prit un autre livre dans la boîte. Elle revint et se mit juste à mon côté. Le bras contre le mien. — Et toi ? Un copain pour te donner « un peu de sexe ou d’affection » ? m’enquis-je en passant ma main dans son dos pour déposer le livre sur une pile. Elle frémit et se détourna en retournant vers l’étagère. — Non. Marianne me regarda, avec l’ébauche d’un sourire coquin. Je restai prudent et toujours flatteur : — Étonnant. Faut croire que tes amis se préoccupent pas de combler les manques.— Mes amis le méritent pas tous. Ceux qui le méritent sont avec quelqu’un, répondit-elle en me regardant, un désir ardent pétillait dans ses yeux. Elle revint vers la table.— Ah, répondis-je simplement. Ils s’en voudraient s’ils étaient au ...