Épisode III : La troisième candidate
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... suis pas assez forte, dit-elle alors que je m’approchais, la dominant de mon corps. Elle leva ses yeux toujours brillants vers moi. — Allons donc voir ça, dis-je en bombant le torse et prenant ma plus grosse voix caverneuse. Son rire clair envahit ma chambre – heureusement elle avait compris la blague. — Allez ma jolie ! continuai-je en pointant l’extérieur de ma chambre. Elle prit un air faussement apeuré et admiratif (une excellente comédienne, bien plus que moi) et dit d’une toute petite voix : — Oh John ! (Je m’esclaffai de suite) Vous êtes mon héros ! Elle posa sa main sur mon bras. Puis, hilares, nous descendîmes au sous-sol. Elle me montra du doigt deux boîtes pleines de livres. Je soupesai un instant, m’assurant de ne pas me donner un mal de dos carabiné et m’accroupis. Je saisis les deux boîtes et sans difficulté je me redressai. — En route, annonçai-je en la dépassant. Marianne n’avait pas eu une réaction de blondasse stupide, elle ne m’avait pas sorti un « Oh, comme tu es forrrt ». Elle s’était contentée de reluquer mes biceps quand j’étais passé devant elle. Arrivés à la bibliothèque, je posai les livres sur la table, un peu essoufflé tout de même et ouvris les boîtes, sortant quelques exemplaires. Il y avait : L’Iliade, L’Odyssée, deux ou trois textes de Montaigne et Nietzsche. J’aperçus les classiques du XVIIIe siècle, les Balzac, Hugo, Verlaine, Melville, bien d’autres encore. J’avais moi-même quelques exemplaires et je comparais les préfaces. Assis à la table, ...
... lisant quelques résumés d’œuvres qui m’étaient inconnues, je la sentais bouger près de moi, classant et triant ses bouquins. Le résumé fut bien vite un prétexte pour avoir la tête penchée et les yeux libres de fureter pour la regarder. Ses fesses arrivaient à ma hauteur, fesses que j’imaginais fermes et douces, bien moulées dans leur short. Je voyais le ventre plat – beaucoup de natation paraîtrait-il – et j’avais bien envie d’y faire couler mes doigts et ma main. Mes yeux arrivés à la naissance du sein, mon sexe commença à se raidir. Je changeai de position et me redressai sur la chaise, me tortillant un instant pour laisser un peu de place à ma queue raide, sans toutefois attirer l’attention. Elle était plus jeune que moi, je ne la connaissais même pas et je devais faire attention pour ne pas passer pour le vicieux dégueulasse. Je voyais ses cuisses fermes aller et venir, frémirent quand un courant d’air frais traversait les fenêtres ouvertes. Maintenant je voyais cette poitrine, féminine, fière, droite et parfaite. Elle avait de plus gros seins que Sandra, à peine, et même moins fermes, ils étaient très attirants. Mon sexe continuait de prendre volume, épaisseur et rigidité. Je voyais son cou, son visage doux, ses cheveux. J’avais une soudaine soif, une soif de chair, celle-là très fraîche, douce et soyeuse sous la langue, chaude et palpitante. Marianne commençait à classer des livres plus près de moi et bien qu’elle eut beaucoup d’espace pour passer, elle venait toujours ...