Épisode III : La troisième candidate
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... à moi, dans toute la cambrure de ses reins. Je lapai avec application les grandes lèvres dépourvues de poils, les mordillai et recommençai à la doigter rapidement de deux doigts. Elle goûtait bon la femme en chaleur et brûlante de plaisir et j’avalai la mouille qui coulait sur ses cuisses. Elle râlait toujours, se caressait un sein, moi malaxant l’autre. Je dégorgeai son clitoris et le titillai de ma langue, le prit entre mes dents et le suçai longuement. Elle vibrait et sa jouissance fut très soudaine, me remplissant la bouche de son liquide chaud. Marianne, essoufflée, reprit ses esprits tandis que je caressais d’une main moite ses fesses, sa raie et son petit trou, l’autre occupée à me déshabiller. Une fois ses esprits totalement recouvrés, elle se retourna et avec toute sa force, elle me précipita assis dans la banquette. — J’ai faim maintenant, chuchota-t-elle en approchant de moi. Elle me fit quitter d’un coup pantalon et boxer pour mettre immédiatement la main sur mon sexe raide, l’autre massant ma cuisse. Ma queue, tendue et pleine, fut rapidement serrée et branlée lentement et délicieusement. Elle s’accroupit entre mes jambes et vint donner quelques coups de langues à mes couilles, pour ensuite remonter le long de ma verge. Sur le gland, telle l’experte qu’elle était, elle se mit à tortiller sa langue, autour, dessus, le mouillant abondamment. Elle ouvrit les lèvres et enfourna ma queue dans sa bouche lentement, mais goulûment. Elle suça pendant quelques secondes, ...
... puis ressortit mon sexe et se remit à lécher le gland de sa langue plus qu’agile, sa main recommençant à me branler, puis elle le remit à nouveau en bouche. Cette fois, je gémis sans retenue, alors qu’elle me faisait une pipe fantastique. Elle fit l’aller et retour pendant encore une ou deux délicieuses minutes où le plaisir montait en moi rapidement. Mais je ne voulais pas jouir. Pas maintenant. J’enlevai mon chandail si vite que je le déchirai presque. Puis, je la relevai et, la prenant par les hanches, je la fis avancer vers moi pour qu’elle vienne s’asseoir sur mes cuisses. En s’asseyant, elle avait saisi ma queue, la branlant un peu puis l’avait calée contre sa chatte. J’appuyai sur ses hanches et elle s’empala jusqu’à la garde en poussant un petit couinement de plaisir et de soulagement. J’avais ses beaux seins sous les yeux, et ils se mirent à bouger doucement, alors qu’elle commençait à coulisser sur ma queue. Je pelotais ses fesses sans relâche et ma bouche vint mordiller ses seins durs et excités. — Hmmmm, hmmmm, lâchait-elle, à nouveau au bord de l’orgasme. Moi aussi j’allais bientôt venir, mais alors que je sentais cette chaleur intense monter, elle se releva et sortit ma verge de sa chatte ruisselante. Elle se retourna, m’offrant son dos et ses fesses et recula pour s’empaler ainsi si mon sexe tendu et luisant. Marianne appuya ses mains sur mes genoux et elle prit la direction des évènements en montant et descendant elle-même sur ma queue, me comblant de plaisir, ...