Emois à trois (1)
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... faire, tu me rends dingue là à me chauffer avec ta robe sans rien dessous… je sais que tu as envie de moi… » Tu te calmas, et relaissas tomber ta tête sur son épaule en me regardant les yeux entrouverts. Je devinais la main de Christian qui s’immisçait à nouveau très haut entre tes cuisses, surement en train de te fouiller le sexe que j’imaginais humide de désir. Dans le silence qui s’installait subitement, nous n’entendions plus que ton souffle. A la lueur de la lune, je voyais ta poitrine battre la chamade au rythme de ton pouls et de ta respiration rapide. Approchant mon fauteuil, j’entrepris de te caresser le visage. Parvenant à ta bouche, je glissai un doigt entre tes lèvres, et tu l’enserras en réponse aux provocations sensuelles des doigts de Christian. Puis je descendis vers ton décolleté dans lequel ma main plongea pour te caresser les seins. Soudain tu bondis du fauteuil et crias : -« Non mais vous êtes fous, non ! Et tu disparus dans le bungalow. Nous t’emboitâmes le pas sans attendre. Dans la lueur de la pleine lune qui baignait la petite chambre, tu venais de t’effondrer sur le lit et gisais inerte sur le dos, une jambe pliée qui remontait ta robe, aussi belle qu’une œuvre de Modigliani. Christian se posa sur le lit, tandis que prudent, je restai au bord, assis en retrait pour observer l’expression de mon amoureuse harcelée par son homme. Les mains de Christian s’égarèrent bien vite sur tes jolies courbes de hanches sans qu’il ne prête plus attention à moi. ...
... J’observais cette scène dont je n’aurais jamais imaginé la vivre. J’étais à la fois jaloux de Christian qui s’apprêtait à faire l’amour à la femme que j’aime, et excité par l’érotisme primaire de la situation. Christian déboutonna ta robe de haut en bas et l’ouvrit en grand, révélant ton corps resté parfait à 44 ans. Il commença à triturer tes seins qui durcissaient en réaction au martyr imposé. Puis il t’embrassa en de multiples petits baisers que tu lui rendis, l’enlaçant dans tes bras et te trémoussant sans retenue contre lui comme si je n’existais plus. Sentant ton excitation au zénith, je m’installai plus près, et commençai à caresser tes jambes. Plus mes mains remontaient, plus ta peau était douce et m’invitait ; mes mains glissaient en va et viens jusqu’à ton sexe qui m’hypnotisait. Mes doigts s’y infiltrèrent et s’y perdirent aisément tant tu étais trempée par l’excitation. J’entrepris de masser ton clitoris ce qui te fit tortiller de plaisir, provoquant la curiosité de Christian. Il se retourna pour me mater branlant ton sexe. Malgré la faible lumière, je voyais son regard lubrique. Il bondit du lit et se débarrassa de son maillot de bains : -« J’étais sûre que t’attendais que ça ! Tu aimes çà hein ? Tu voulais baiser avec lui ?? Si ça se trouve tu l’as déjà fait ?! … Hein ? Avoue… t’as déjà baisé avec ? C’est bien, … tu vas l’avoir et moi avec, on va te baiser jusqu’à te faire dégueuler de foutre… » Puis me regardant « Tu la veux ?! Vas-y, baises-la ! Elle n’attend que ...