Emois à trois (1)
Datte: 21/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Cet histoire s’adresse à toi Christelle, mon amour secret… Toi et moi nous étions arrangés pour organiser un weekend sous prétexte d’escalade. Tu avais présenté le projet de sortie à Christian en lui expliquant que j’adorais la warap, et que ce serait sympa de monter une sortie commune lors de votre prochain weekend en lien avec les activités de grimpe dans le Vercors. D’abord pas très emballé, il avait fini par identifier l’absence de risque sur ce coup, et avait accepté. Il faut dire que depuis 10 ans que je t’ai embauchée dans ma boîte, notre complicité initiale n’a pas tardé à se transformer en désir mutuel puis en amour fusionnel depuis 5 ans. Je ne cesse de bénir ce jour où tu m’as cédé, tout en haïssant ma vie désormais suspendue à nos trop rares escapades amoureuses en marge de ta vie. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, J’ai compris que je ne lutterais pas contre la préservation du bonheur de tes enfants. Mais Christian n’est pas tombé de la dernière pluie, et tes promotions successives chez moi ont attisé sa jalousie. Le samedi s’était déroulé sous une chaleur étouffante. Christian et moi avions finalement sympathisé en arpentant la paroi rocheuse, les vieilles rancœurs passées furent vite mises de côté au profit des bonnes anecdotes et défis mutuels à flanc de falaise. Quant à toi, tu avais décidé de passer la journée en ville avec l’espoir secret de me faire fumer ce soir-là, pour satisfaire à ta promesse de m’y faire goûter un jour faite il y a de cela ...
... plusieurs années. En fin d’après-midi, Christian et moi nous étions retrouvés pour l’apéro après une douche rafraichissante, profitant du soleil du soir en maillot de bain. Tu n’étais pas encore rentrée de ta journée shopping et nous ne pûmes nous retenir de remplir les premiers verres : vin du sud pour Christian, et Champagne pour moi. C’est ainsi qu’on commença à refaire le monde assis tous les deux côte à côte dans nos fauteuils, dégringolant gaillardement nos breuvages respectifs. — « Faut qu’elle arrive vite, autrement on va se beurrer, et elle ne va pas apprécier.. » me dit Christian. — « Pas de risque, on est sage, on ne roule pas, et surtout… j’ai tout un carton de champagne !... alors elle ne va pas bouder longtemps !! » lui répondit-je Environ une demi-heure plus tard, tu arrivais, vêtue d’une petite robe d’été à fine bretelles boutonnée devant qui te moule si parfaitement que ça me laissait deviner ton absence de culotte. Du coin de l’œil, je sentais ton regard espiègle dont la particularité est de me fait virer au rouge vif au quart de tour. — « J’ai trouvé ce que je cherchais : on va faire fumer Jacques, on va rire ! » nous dis-tu. — « J’espère que tu en as assez pour tous les trois » renchéris Christian, qui entendait bien profiter de ses expériences passées pour me montrer sa supériorité. Profitant que tu passais à côté de son fauteuil, Christian passa une main sous ta robe et je vis son regard s’embraser. Bingo, j’étais sûr que tu n’avais pas de culotte. Tu ...