1. Emois à trois (1)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... faisait le pitre quand soudain il se leva, et nous faisant dos il sorti sa queue et t’appela : — « Regarde bébé, … Moi, je ne tombe pas …! Je me tiens droit, et en plus je peux même t’écrire mon amour… Ça t’en bouche un coin là ?! Hein ? » : Impudique, il tentait de dessiner un cœur en pissant sur le sol sablonneux. Tu te levas et t’approchas au-dessus de son épaule scrutant l’œuvre qui se dessinait au sol. C’est alors que tu lui saisis la queue à pleine main et renchéris : — « Attends, tu t’y prends mal, … voiiiiilà, maintenant, c’est signé !! » s’exclamas-tu triomphante, face au gribouillis que tu venais de lui faire faire… Je ne te reconnaissais plus ! En te retournant pour revenir à ton fauteuil, tu titubais. Prise de vertige, tu te laissas à nouveau tomber sur mes genoux. Fort de l’ambiance que tu venais d’introduire, je te pris affectueusement par la taille avant que mes mains ne descendent calmement pour caresser tes cuisses. Ça eut pour effet de remonter ta robe sans que pour autant tu ne réagisses, tandis que Christian fixait ton sexe dévoilé face à lui : — « Regarde-la ! Elle est calcinée » s’écria-t-il avec un regard lubrique ; Il retomba sur son fauteuil en se grattant le maillot qui lui faisait mal alors qu’il commençait à bander. L’un et l’autre nous étions surpris de l’absence bénie de jalousie de Christian, qui restait complètement détendu. Du coup tu restas assise sur moi profitant de ma tendresse. Mes mains remontèrent et te caressèrent les seins avec ton ...
    ... apparente et inespérée approbation. J’étais abasourdi mais en même temps très excité du scénario qui s’avançait. Dans mon état, je n’éprouvais plus ni peurs, ni jalousie, ni limites ! Christian quant à lui ne nous quittait pas des yeux, son regard était plein de convoitise. Il se caressait doucement la queue restée entravée dans le maillot tandis qu’il m’observait massant les seins de sa femme … Voyant que tu ne t’offusquais pas de la situation, il rapprocha son fauteuil et fini par poser une main sur ton genou : — « Bébé, tu ne serais pas mieux sur mes genoux ? » et il t’invita d’un geste à s’assoir sur lui. Tu te levas et t’installas sur ses genoux. Aussitôt, ses mains caressèrent ta poitrine, puis descendirent sous ta robe dévoilant complètement tes cuisses brillantes et ton sexe épilé. Tu tentas d’abord mollement de te réajuster mais à l’appel du plaisir au second passage de ses caresses, tes réticences s’étaient volatilisées et tu laissas finalement apparaître toute ta beauté. Tu te trouvais pour la première fois étreinte simultanément par les deux hommes auxquels tu donnes ton amour. Cette situation paraissait aussi excitante que suffisamment rassurante pour te faire basculer dans le laisser-faire total. Christian, tout en te palpant le sexe, me regardait quand tu resserras brusquement les cuisses : — « Mais ça va pas non ?? Vous n’avez pas fini tous les deux ?! Et puis si quelqu’un arrivait ?? » Christian te bloqua sur lui et te souffla : — « T’inquiète bébé, laisse-toi ...
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